Le blog de michel koppera
La photo
1 ) Le mari
Michel m’avait téléphoné qu’il passerait au manoir pour essayer son nouvel appareil photo en prenant ma femme pour modèle. J’en informai Hélène qui fit la moue, estimant ne plus avoir l’âge de jouer les top-models. Je lui répondis de se débrouiller avec Michel.
Il arriva en soirée, ravi de sa nouvelle acquisition.
Il fit d'abord quelques premières photos de ma femme dans le salon puis lui annonça qu’il voulait essayer des nus.
La comtesse de La Motte-Veuillé protesta, mais avec Michel il y avait peu de chance qu’il se laisse détourner de son projet. On monta donc dans notre chambre.
Il essaya différents cadrages et demanda tout naturellement à Hélène de se mettre à poil. J’adorais lorsqu’il la rudoyait ainsi.
Elle dit : «D’accord mais je garde un chemisier sur les épaules, vous savez que je n’aime pas mes épaules, trop petites. »
Elle se déshabilla donc entièrement et alla chercher un chemisier blanc dont elle noua simplement les pans. Michel lui choisit une paire d’escarpins en daim marron glacé au bout noir dont la hauteur des talons élançait encore la silhouette nue de ma femme.
Michel lui faisait prendre différentes poses.
D’abord debout, appuyée sur la cheminée, de face, montrant combien avec son sexe épilé elle était « fendue haut », puis de profil et de dos, son adorable petit cul donné en pâture au photographe qui la fit ensuite allonger sur le lit conjugal, aménageant les plis du chemisier, découvrant ses seins qu’il effleurait savamment, prenant ses jambes pour les décroiser et laisser apparaître son sexe dont il repliait lui-même les grandes lèvres à l'intérieur, ne se privant pas de laisser glisser ses mains, sortes de caresses qui annonçaient l’érotisme des photos. Il la mitraillait, elle se prenait au jeu, obéissant à toute demande.
J’étais sous le charme de voir ma femme laisser son corps obéir aux demandes de Michel.
Il me proposait ainsi de les voir non pas faire l’amour comme ils l’avaient souvent fait devant moi, mais différemment, Michel intimant ses instructions et Hélène s’y conformant, allant même proposer telle ou telle position,
Michel photographiait puis revenait vers moi me montrant sur l’écran de l’appareil la photo qui venait d’être prise.
L’érotisme de cette situation satisfaisait totalement mes sentiments candaulistes : simplement voir ma femme nue devant un homme qui lui impose de prendre telle ou telle position, qui commande à son corps et ce corps qui répond à un autre que moi.
Je leur proposai d’aller chercher une bouteille de champagne et trois coupes pour fêter cette séance de photos.
Lorsque je revins elle était à ses pieds le suçant amoureusement. Une La Motte-Veuillé ne manque jamais de savoir-vivre. Quel plaisir pour moi !
2 ) L'amant
Chaque semaine, Hélène et moi, nous nous donnons rendez-vous dans un hôtel discret du centre-ville. Nous y passons l'après-midi dans une chambre à l'abri des qu'en-dira-t-on. À chaque fois, j'apporte quelques ouvrages de littérature érotique dont elle est friande. Elle y vient vêtue de soie, de dentelle et de parfums enivrants...
Alors que nous sommes allongés quasiment nus sur les draps blancs, elle aime que je lui fasse la lecture pendant qu'elle me taille une pipe. Aujourd'hui, j'ai apporté "Sexus" d'Henry Miller. À la fin du chapitre, elle me parle sérieusement de ma bite, de sa saveur, de sa longueur en bouche, du volume de mes couilles, ce qui entretient mon érection. En retour, penché au-dessus de ses cuisses ouvertes, je lui parle de son sexe intégralement épilé au laser dont j'adore le velouté et la très chaste obscénité, de la délicatesse de ses lèvres vaginales que j'écarte de la pointe de la langue... Hélène est chaude. Je reprends la lecture, le livre ouvert sur ses fesses nues, une main entre ses cuisses pour lui caresser le périnée et l'anus tendre. Elle me tient la bite et me branle distraitement. Le texte l'excite :
" Saisissant sa main, j'attirai Mélanie contre moi et l'embrassai. Elle n'offrit pas de résistance. Au contraire, elle renversa la tête en arrière et tendit ses lèvres. La seconde d'après, ma langue était dans sa bouche, et son corps mol et chaud, se pressait convulsivement contre le mien. Je glissai une main sous son peignoir et plongeai les doigts dans la fourche. À ma surprise, elle chercha droit dans ma braguette, l'ouvrit et sortit ma verge. Je l'adossai au mur et la laissai mettre mon vit en batterie dans son con. Elle était en feu, à présent..." (Sexus, editions Buchet-Chastel, chapitre 10, page 302)
Plus tard dans l'après-midi, alors qu'elle repose sur le lit à la manière d'une odalisque, la fente poisseuse de mon sperme encore chaud, elle fouille dans son sac à main et en sort un appareil photo qu'elle me tend :
– Prenez-moi en photo !
– Comme ça ?
– Oui, surtout comme ça ! Photographiez mes seins, ma chatte, mon cul... N'hésitez-pas à m'ouvrir les cuisses pour qu'on voie bien votre foutre qui déborde de mon vagin !
– C'est pour vous les photos ? En souvenir ?
– Non, c'est pour mon mari...
Je viens de lire ce texte magnifiquement écrit par Michel koppéra et suis encore très excité. Je suis un mari qui aimerait tant voir sa femme avec un autre homme et je vous imagine la photographiant sous tous les angles avant de la caresser et de la conduire à l'orgasme, devant moi qui me branlerait en vous regardant!