Le blog de michel koppera

Rappel : Odile est chez le Président de l'Association de Parents d'élèves qui a découvert une erreur dans la comptabilité d'Odile et qui compte tirer profit de cette faute.

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Bien qu’horriblement gênée par la situation, Odile se trouva incapable de prononcer une parole de réprobation, et encore moins de détourner son regard de la bite en érection qui se dressait à portée de main. La première chose qu’elle remarqua, c’est que M. Delorme était circoncis et que ça lui allait bien. C’était un beau sexe, bien proportionné, droit comme un i, avec un gland d’apparence ferme. Le relief d’une veine tortueuse qui courait sous la peau fine ajoutait une note attendrissante au membre présidentiel.

dub89 De sa main libre, il prit Odile par la nuque et l’attira à lui. Elle n’opposa aucune résistance, bascula lentement sur le côté jusqu’à poser sa tête sur le ventre de M. Delorme. La bite était là, toute proche de ses lèvres. Odile en humait déjà l’odeur chaude : elle sentait bon.

 La main du président lâcha sa nuque et caressa ses cheveux. Odile avança un peu plus son visage. Maintenant, le gland nu effleurait ses lèvres. Elle y passa le bout de la langue, d’abord sur la petite bouche du méat, puis tout autour, comme elle l’aurait fait d’une glace à une boule pour ne rien perdre de son parfum sucré. La bite du président était chaude, sous pression, tendue comme un arc.

D’un coup de reins, il s’enfonça dans la bouche d’Odile. Alors, elle se mit à le pomper avec méthode, usant de sa langue, de ses lèvres en fourreau, du voile de son palais aussi doux et souple qu’un vagin. Sa main fouilla dans le pantalon à la recherche des couilles qu’elle saisit et pétrit avec douceur.comptable3-3

Odile sentit la main du président se crisper dans ses cheveux, puis la bite fut saisie d’une sorte de vibration continue. « Oh, putain, ce que vous sucez bien ! » furent les derniers mots du président avant que les giclées de sperme se répandent dans la bouche d’Odile qui avala le tout sans broncher, lui laissant sur la langue un arrière-goût d’amande fraîche…

Chacun remit de l’ordre dans sa tenue : le président réajusta son pantalon, Odile se recoiffa et fit un passage aux toilettes où elle constata avec un peu d’inquiétude qu’elle était si excitée que le fond de sa culotte en était tout mouillé.

Il était presque 16h 30 lorsqu’elle quitta l’appartement du président. Mais au moment de partir, alors que sur le palier elle attendait l’ascenseur, il lui avait dit :

- Je vous attends mardi prochain, dans l’après-midi. On réglera cette affaire. Surtout, n’oubliez pas d’apporter tous les documents nécessaires. Passez une bonne semaine et transmettez mes amitiés à votre mari.

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Jeu 19 jui 2012 1 commentaire
Le Président que vous brosser là semble gérer son agenda parfaitement. J'imagine qu'il ne le laissera pas chez un huissier. Lui.
Rajah - le 19/07/2012 à 18h44

Vous avez deviné juste !

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