Le blog de michel koppera
Elisabeth et les cinq sens.
2 : L’odorat
De tes fesses écartées à deux mains
Montent des senteurs épicées de femelle :
Parfum capiteux de ta vulve charnelle,
Senteur poivrée de son cul souverain.
À pleins poumons j’inhale ton désir ;
J’en découvre les arômes les plus indiscrets.
Et comme un chien errant en quête de plaisir,
Je te flaire la croupe et me branle en secret.
Mar 20 nov 2012
13 commentaires
entre les deux trous, ma bite balance
novice - le 20/11/2012 à 09h23
Moi, je n'hésite pas, je l'encule !
foufounet - le 20/11/2012 à 09h29
Rein qu'à lire le texte à voix haute, j'en ai plein les narines !
sammy - le 20/11/2012 à 09h32
Putain, quel cul ! MAJESTUEUX !!!
robert76 - le 20/11/2012 à 10h42
oui c'est ça, un cul de reine
le_condor - le 20/11/2012 à 17h07
impudique, mais tellement desirable...
les mots sont superbes
les mots sont superbes
cahouete - le 21/11/2012 à 08h47
Un cul comme ça au petit matin, ça donne la pêche pour toute la journée !
gilderaie - le 21/11/2012 à 08h50
oh, ce cul !!!! un monument à la gloire du sexe
slimane - le 21/11/2012 à 15h18
Je suis d'accord avec pat, les deux trous ont l'air aussi accueillants l'un que l'autre
soliste - le 21/11/2012 à 16h28
un cul de rêve, tout est si beau, si...
memento - le 22/11/2012 à 17h09