Le blog de michel koppera
Mes aventures et mésaventures, # 6
Michèle R*.
1973. J’avais connu Michèle au lycée, en classe de terminale. Au cours de l’année, nous nous étions déjà livrés à quelques attouchements et caresses très sexuelles à l’occasion de séances de ciné-club et d’une obscurité propice au rapprochement des corps… Mais rien de plus. Michèle était un peu rousse, avec un visage lunaire aux joues piquetées d’innombrables taches de rousseur. Elle avait les cheveux coupés court, la bouche très large, les yeux marron clair. Elle avait les hanches généreuses et une toute petite poitrine qu’elle noyait sous d’amples pull-overs.
À l’université, par le plus grand des hasards, je croisai de nouveau Michèle dans un couloir. Elle logeait en chambre universitaire, moi en ville. Vie d’étudiants : cours magistraux, restau U, après-midi dans les cafés, soirées au cinéma ou au théâtre, manifs… On se sentait libres. Nous sortons souvent ensemble. Michèle affirme qu’elle a un mec mais on ne le voit jamais… Elle dit qu’il fait des études à B*, à plus de 200 kilomètres de là ! Bref, de fil en aiguille, par un après-midi d’hiver, on finit par se retrouver tous les deux au lit, dans sa petite chambre. Pas question d’aller chez moi, les proprios ont interdit les visites féminines ! Le corps nu de Michèle est très pâle et sa poitrine à peine formée. Mais ses mamelons sont très sensibles et érectiles. Son pubis est couvert d’une touffe clairsemée aux poils très longs et plutôt gros. Au fil des caresses, je constate que Michèle mouille abondamment, à tel point que cette mouillure ressemble à de l’eau sucrée. Et puis, elle a la vulve très large, le vagin béant. Lorsque ma bite s’enfonce dans sa chatte, si visqueuse et si vaste, je ne sens presque rien. Elle non plus. Elle est à genoux au-dessus de moi… Ma main contourne sa hanche et se glisse entre ses fesses. L’anus est tout humide de désir ; cependant que mon index lui caresse le trou de son cul, elle est saisie de tremblements convulsifs. Inquiet, je retire en toute hâte mon doigt, mais la voilà qui rattrape ma main et la ramène entre ses fesses. Je devine son anus dilaté, ouvert comme une bouche de poisson. J’y glisse un doigt curieux.
- Oui. Essaie par là, me souffle-t-elle.
C’est la première fois que je vais pratiquer la sodomie. Elle se soulève un peu, me saisit la queue, se la plante entre les fesses et s’affaisse lentement. L’anus de Michèle n’oppose aucune résistance, au contraire. J’ai l’impression d’être aspiré comme un suppositoire entraîné dans les chaudes ténèbres de son rectum. Ça rentre comme dans du beurre ! Michèle recommence à trembler, un tremblement continu, une sorte de vibration intérieure qui émet des ondes qui parcourent tout son corps. Je suce et mordille ses tétons incroyablement durs. Toute sa peau en a la chair de poule. Elle entame un lent va et vient, de la base du gland jusqu’à la racine de ma bite, au ras des couilles. Elle gémit, une sorte de longue plainte. Je crois qu’elle pleure, mais en réalité, elle jouit. Son cul me palpe, me presse, me pompe la bite, avec l’avidité d’un poulpe. J’envoie mes bordées de sperme dans l’obscurité étroite de son rectum. Je jouis très fort, le plaisir me descend jusqu’aux orteils.
Nous avons réitéré l’expérience cinq ou six fois, je ne sais plus. Et puis, elle a fini par nous présenter le fameux copain ! Ce n’était pas une fiction, il existait réellement ! D’ailleurs, au printemps 1975, ils se sont mariés en grande pompe : église, robe blanche et tout le tralala. Difficile d’oublier en assistant à la cérémonie, pendant les chants, l’échange des alliances, que j’avais enculé la mariée ! Ils eurent deux enfants et, aux dernières nouvelles, ils vivaient toujours ensemble.