Le blog de michel koppera
Scène 5 : septembre 1971
Corfou
Derniers jours de notre périple grec. Nous sommes revenus à Kerkyra (le nom grec de la ville principale de l’île) pour embarquer sur un ferry qui doit nous ramener en Italie. L’embarquement est prévu pour le lendemain en fin d’après-midi. En attendant, nous bivouaquons sur le port : nous n’avons plus un sou vaillant et le ventre vide. C’est là que nous rencontrons un Grec d’une quarantaine d’années qui parle assez bien le français. Il nous explique qu’il a fait une partie de ses études à Paris. On fait connaissance, on échange nos coordonnées. Puis finalement, il nous invite à dîner chez lui. Pour apaiser notre méfiance, il nous dit qu’il vit en couple et que sa compagne sera enchantée de nous recevoir. Nous le suivons jusque dans une petite maison où il nous prie de nous installer. La copine n’est pas là mais il nous affirme qu’elle ne va pas tarder… En attendant son arrivée, il nous mène à la salle de bain où nous prenons une longue douche… La compagne ne viendra pas, sans doute n’a-t-elle jamais existé ! Mais nous avons tellement faim que nous partageons avec plaisir son repas : tomates et feta à l’huile d’olive, plat de viande chaude aux aubergines… Tout en mangeant, il continue de se renseigner sur nous. Quand il apprend qu’on est fauchés, il me prend à part et me dit :
- Je peux vous dépanner de 50 dollars… En échange, je couche avec ton amie. Ça vous va ?
Je répète cette proposition à Anne, elle reste très calme.
- 50 dollars, c’est une somme ! On pourra même s’acheter quelques souvenirs… Je suis d’accord mais à condition que tu ne me laisses pas seule avec lui.
Lorsque notre hôte dont j’ai complètement oublié le nom me donne les 5 billets de 10 dollars, un drôle de frisson me traverse le corps, mélange de veulerie et de désir malsain.
Le dîner se termine comme si de rien n’était, sauf qu’Anne qui d’ordinaire ne boit jamais d’alcool s’envoie deux verres d’ouzo bien tassés. Je me souviens alors que la seule fois où je l’avais vue un peu ivre, elle s’était autorisé de nombreuses fantaisies sexuelles très éloignées de ses pratiques habituelles.
Après le café, on passe dans la chambre. Dehors, il fait nuit noire. Notre hôte accompagne Anne jusqu’au lit et me désigne une chaise près de la porte. Ce sera mon poste de veille. Assise au bord du lit, Anne se laisse entièrement déshabiller. Puis c’est à son tour de se mettre à poil. Mettre à poil est le mot : il est très velu, un poil noir, épais lui recouvre le torse et le ventre. Il est costaud, râblé, avec une petite bedaine et surtout une grosse bite sombre garnie de lourdes couilles bien pendantes. Il bande déjà très dur et le gland dénudé est tout luisant. Il s’approche tout près d’Anne, avec à la main sa bite en mât de beaupré. Elle s’en saisit et aussitôt l’attire dans sa bouche. Je n’en reviens pas ! L’ouzo fait des miracles !!! Tout en le suçant, elle lui caresse les couilles et l’entrecuisse. Le mec est au bord de l’explosion. Mais il en veut pour son argent. Anne se laisse renverser au bord du lit. Il s’agenouille entre ses cuisses ouvertes et lui enfourne sa queue luisante de salive dans la chatte. Ça rentre comme dans du beurre. Anne est très excitée, l’attire en elle et l’encourage à la baiser à fond. Moi, sur ma chaise, je ne perds pas une seconde du film. J’ai ouvert mon jean et je me branle doucement pour entretenir mon érection le plus longtemps possible. Le mec ne tarde pas à jouir bruyamment ; quand il éjacule, il serre les fesses en cadence pour bien se vider les couilles. Anne aussi jouit en soupirant très fort. Quand il se retire, elle reste immobile, les cuisses très écartées, avec le sexe béant qui suinte le sperme encore chaud
C’est la seconde fois que je la baise après un autre et j’y retrouve le même intense plaisir Je dois avouer que la partager avec un inconnu m’excite au plus haut point.
On s’endort à trois sur le lit, Anne au milieu, nus dans la moiteur de la chambre obscure. Plus tard dans la nuit, je serai tiré du sommeil par un nouvel accouplement de mes deux voisins. Anne était à quatre pattes sur le lit, l’autre la prenait en levrette. Je n’oublierai jamais la saveur si particulière des lèvres d’Anne cette nuit-là : goût de sperme et d’anis qui accompagnaient ses mots tendres pendant qu’elle se faisait monter comme une chienne
- Tu es là et je suis heureuse… Tu comprends ça ?