Le blog de michel koppera
Mes aventures et mésaventures, # 11
Christine A. Juin 1987, Santander
En avril, nous avions reçu pendant une semaine des collègues de notre filiale espagnole de Santander. Esprit d’entreprise et échange culturel. Fin juin c’était à notre tour de leur rendre visite. Nous étions six, deux couples, Christine et moi. Christine avait des origines grecques. Elle avait 32 ans, les cheveux noirs bouclés, un nez proéminent, de grands yeux sombres aux paupières lourdes, une belle bouche… On travaillait ensemble depuis plus de deux ans. On se connaissait un peu, sans plus. En arrivant à Santander, nous avons appris que nous serions hébergés tous les deux par un couple de collègues espagnols dans un vaste appartement avec vue sur l’océan. Chacun sa chambre.
Ce fut une semaine très agréable : visites touristiques, soirées restau, bains de soleil et de mer… Nos hôtes avaient mis à notre disposition une voiture, nous étions libres et insouciants.
Un soir, après dîner, nous sommes allés au casino où il y avait des machines à sous alors encore assez rares en France. Pour Christine, c’était une première. Elle me demanda de lui montrer comment jouer… Et c’est ainsi qu’elle gagna, pas énormément (peut-être 4 ou 500 francs) mais suffisamment pour qu’elle m’embrasse affectueusement pour me remercier. C’est comme ça que tout a commencé !
Après le casino, nous sommes allés sur la plage. Il faisait encore chaud. Nous nous sommes assis sur le sable tiède. Christine portait un débardeur rose indien et une robe de coton blanc qui lui couvrait les genoux. Je la tenais par la taille. Nous nous sommes embrassés très longtemps sous la lune. J’ai caressé ses seins, son ventre, ses cuisses nues sous sa jupe. Elle m’a enserré la nuque et palpé l’entrejambe avec insistance.
- On rentre ?
Une demi-heure plus tard, on était dans sa chambre, la plus éloignée de celle de nos hôtes. Il faisait très chaud. On a ouvert en grand la fenêtre qui donnait sur la mer argentée. Christine s’est laissée déshabiller. Elle avait de petits seins aux aréoles larges comme des soucoupes et une chatte anthracite très fournie. Elle ouvrit mon pantalon et s’empara à pleine main de ma queue raide. On s’embrassait avec fougue. On était pressés de baiser, peut-être trop. On a oublié les préliminaires. Christine se laissa tomber à la renverse sur le lit, ouvrit en grand les cuisses pour me montrer son sexe huileux. Je n’avais plus qu’à m’y glisser au plus profond, à aller et venir dans son ventre, tout en embrassant ses lèvres chaudes, en caressant ses seins gonflés de désir. On a joui presque ensemble.
Plus tard dans la nuit, on a baisé une seconde fois. Puis, encore les deux nuits suivantes, mais sans jamais dormir ensemble. Je crois que nos hôtes ignorèrent tout de notre relation secrète, ou alors ils surent faire preuve d’une remarquable discrétion.
À la fin de la semaine, de retour en France, Christine reprit sa vie avec son compagnon légitime et il ne nous resta plus que des souvenirs