Le blog de michel koppera

Suite et fin des aventures de Zézette et de ses deux tringleurs

Quand les deux mecs en ont fini de leur bière, ils repoussent Zézette qui tombe en arrière sur le tapis, étendue sur le dos à gigoter comme une grosse tortue incapable de se retourner. Ils rigolent. Ils ont une vue imprenable sur sa large fente dégoulinante de désir et sur son entrefesse où palpite le trou de son cul tout humide et tuméfié.

tringleurs6- Reste comme ça ! ordonne Stéphane. Ouvre ta chatte à deux mains et pousse un maximum, comme si tu voulais nous montrer ton utérus. Putain, regarde comme elle bâille de la moule… On peut pas dire que c’est très ragoûtant, mais ça donne envie. Tiens, pousse aussi du cul, comme si tu voulais chier, qu’on voie ce que ça donne du côté de ton trou à merde !

- Comme ça ?

- Ouais, pas mal ! On dirait une bouche de mioche qui veut téter…

Stéphane se penche en avant, juste au-dessus du ventre ouvert de Zézette et crache dessus, en plein sur le trou du cul. Pour Zézette, c’est comme si un jet de foutre venait de lui électriser l’anus… Elle en pisse de bonheur !

- T’as pas fini salope, t’as vraiment aucune pudeur. Je vais t’apprendre moi, à pisser devant des inconnus !

Stéphane lui flanque une bonne claque sur chaque fesse. Les chairs en tremblent et une rougeur incendie les rondeurs callipyges. Les claques ne font qu’attiser la lubricité de Zézette qui se trémousse comme une possédée, en tortillant du cul et en poussant de petits cris de bête sauvage.

- Venez me baiser, s’il vous plaît, j’ai besoin de vos bites… supplie-t-elle en libérant un dernier ruisseau de pisse chaude.tringleurs7

C’est Stéphane qui s’y colle. En un rien de temps, il l’enfile, lui rentre la bite dans la moule jusqu’aux couilles. Ça fait des clapotis un peu dégueulasses. Loïc qui s’est débarrassé de son pantalon vient s’accroupir au-dessus du visage de Zézette

- Lèche-moi le cul et les couilles, que ce soit nickel !

Zézette ne demande pas mieux ! Le cul et les couilles de Loïc ont encore le goût de la jeunesse. Le trou du cul est bien serré, avec quelques poils autour qu’elle lisse du bout de la langue. La peau des couilles est encore glabre, et elle gobe les deux orphelines d’une seule bouchée en lui tenant la bite d’une main.  Pendant ce temps, Stéphane la pistonne à grands coups de reins… Zézette aime être défoncée, elle aime sentir la tête de bite cogner dans le fond de sa matrice, encore et encore…

tringleurs8En la baisant, pour s’encourager, Stéphane la traite d’un tas de noms d’ordures et de saletés qu’elle adore : il la traite de roulure, de sac à foutre, de grosse vache, de salope, de chienne enragée, de putain, de pouffiasse, d’obsédée du cul, de raclure de bidet, de tas de viande… Elle voudrait même qu’il invente des mots nouveaux, des mots venus d’ailleurs et encore plus orduriers, mais Stéphane manque cruellement d’imagination… Alors, elle se contente de savourer chaque insulte comme on suce un bonbon.

Zézette est tellement mouillée et disponible que c’est à peine si elle sent encore la queue de Stéphane qui va et vient dans son vagin. Elle en veut davantage. Stéphane est fatigué et défourne sa queue puis bascule sur le dos, la bite en l’air, dressée comme le mât d’un voilier en détresse.

- Monte-moi dessus, sale pute et bosse un peu, grosse fainéante !

Zézette ne se le fait pas dire deux fois. La voilà à califourchon au-dessus de Stéphane, avec ses mamelles qui traînent sur son buste velu, avec sa moule béante prête à avaler sa queue raide… Loïc vient par derrière et entreprend de lui bouffer le cul qu’elle a  grand ouvert. Il lui lèche l’anus, y met un, puis deux, puis trois doigts… Et plus il en met, plus elle a envie que toute sa main lui entre dans le rectum jusqu’au poignet et lui remplisse l’intestin comme un gros étron de chair vivante… De temps en temps, il retire ses doigts et les remplace par une canette de bière vide qu’il lui enfonce jusqu’au culot en l’utilisant comme une bite… Zézette n’en peut plus d’attendre.

- Encule-moi, demande-t-elle à Loïc qui bande comme un âne.tringleurs9

Maintenant, elle a la bite de Stéphane dans le con, et celle de Loïc dans le cul, et c’est le vrai bonheur. C’est comme ça qu’elle est heureuse, qu’elle se sent pleinement femme, une vraie femelle, prise par les deux trous. Elle se dit que le bonheur serait parfait si elle avait en plus une bite dans la bouche ou une chatte de femme à lécher, une grosse femme comme elle, avec de grosses fesses, de gros seins, de grosses cuisses bien grasses et si moelleuses au toucher. Stéphane lui tète les mamelons, Loïc lui laboure le cul… Elle a un orgasme, puis un deuxième où elle pisse encore un peu. Mais les mecs s’en foutent maintenant… Ils ne sont plus que trois animaux en rut, en saison, comme on dit parfois. Saison des amours… Alors ils lui donnent des noms de bête, la traitent de chatte lubrique, de sale chienne, de bâtarde, de lapine, d’otarie de cirque, de baleine blanche, de poulinière et de grosse vache laitière. Elle se dit que c’est affectueux !

Ils finissent par se branler sur son corps en sueur, par lui balancer de grandes et brûlantes bordées de foutre qui éclabousse ses seins, son ventre, qui coule entre ses fesses et calme un peu ses désirs inassouvis.

Plus tard,  ils reprennent ensemble une bière, assis sur le canapé, elle installée entre les deux mecs. Ils sont tous les trois à poil. Le sperme a refroidi et séché sur la peau de Zézette. Elle se sent bien, avec ces deux queues à portée de main… Elle en a le con et le cul qui palpitent de joie… Tout comme une guenon bonobo au cœur de la forêt primaire.

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© Michel Koppera

octobre 2014

 

 

 

 

Mar 24 mar 2015 Aucun commentaire