Le blog de michel koppera
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 13 a
Je crie, mais je ne sais si c'est de plaisir ou de douleur, sans doute les deux à la fois. Le sexe extravagant de Daniel me laboure littéralement le ventre à tel point que j'ai l'impression d'accoucher à l'envers, comme si un être vivant tout entier tentait de me pénétrer au plus profond. Il finit par jouir, en grognant. De ses mains puissantes, il me broie les épaules, mais j'aime ça. Quand il se retire, je ressens un grand vide dans mon ventre. Ça ne dure qu'un instant, car les cinq autres se précipitent sur mon corps laissé vacant. Me voilà bientôt prise par les deux trous : Bertrand m'enconne, Nicolas m'encule. Ils sont bien synchronisés, comme les deux pistons d'une même machine. Cette régularité me plaît et me procure un orgasme presque instantané. Pour faire bonne mesure, Mathias me donne sa bite à sucer. Je le sens tendu, frustré. Je ne saurais dire pourquoi, mais sa queue a le goût du dépit. Malgré le plaisir, je sais qu'il me hait. En attendant son tour, Stéphane se prête volontiers à mes caresses : je lui masse les couilles et lui astique la queue, si bien qu'il ne tarde pas à m'envoyer une nouvelle bordée de sperme sur les seins. Quant à Géraldine, elle se frotte aux fesses de Nicolas et tente, apparemment avec succès, de l'enculer avec son gros clito...
Monsieur K filme, consciencieusement. Une pensée me traverse soudain : qu'est-ce qu'il va faire de ce film ? Le mettre en ligne sur Internet ? Quelle horreur ! Et pourtant, je ne peux m'empêcher de mouiller en imaginant tous ces internautes en train de me regarder et de se branler devant leur écran...