Le blog de michel koppera
"Crissie et Monsieur K", chapitre 14 a
Amoureux, moi ? Je refoule aussitôt cette hypothèse au plus profond de moi. Il faut pourtant reconnaître que Crissie ne ressemble pas à celles qui l'ont précédée. Dans mon objectif, je vois les duettistes du piston s'immobiliser de concert. Ils jouissent. Bertrand aussi dont le sperme déborde des lèvres glossées de Crissie. Tout se calme, comme après une tempête. Il ne reste plus que la musique de Malher, l'odeur tiède et âcre des sueurs et des foutres mêlés, le corps abandonné de Crissie écartelée sur la table. Même Stéphane donne des signes de fatigue. Il est deux heures du matin. J'arrête de filmer. C'est compter sans Daniel qui a repris des forces et bande de nouveau à tout rompre. Quand il se lève du canapé, s'approche de la table où tu gis, chacun retient son souffle. Tout va très vite, se déroule avec une précision diabolique. Il te saisit - dans ses mains, tu parais plus menue qu'une poupée -, te met debout face à la table, te plaque le buste sur la nappe. Te voilà à l'équerre, la croupe offerte. Il t'écarte les cuisses et présente sa bite énorme entre tes fesses. Il t'encule brutalement. Tu gueules, tu brames, tu hurles ta souffrance. Et puis, plus aucun son ne sort de ta bouche ouverte... Ton regard croise le mien... J'ai peur.
Divin
Caty