Le blog de michel koppera
" Crissie et Monsieur K.", chapitre 19 a
Ton silence m'exaspère. Cependant, en examinant au plus près ton corps nu, je glane quelques indices. Le premier, c'est un minuscule nouveau tatouage au-dessus de ta cheville droite. Cela représente un croissant de lune noire, comme un écho à la petite étoile tatouée sur ton poignet gauche. Je ne peux alors m'empêcher de repenser à la remarque de Géraldine lors de notre "soirée" entre amis. Et puis, il y a ces traces inquiétantes sur ton dos, trois zébrures parallèles semblables à s'y méprendre à des griffures de chat. Elles ont provoqué de légères boursouflures sur ta peau tendre. De toute évidence, c'est récent. Je les effleure du bout des doigts, cela t'arrache un frisson douloureux. Je m'abstiens de te poser encore des questions, car je sais maintenant que je n'obtiendrai aucune réponse, et je ne souhaite pas que tu te sentes obligée de mentir
En glissant ma main plus avant entre tes fesses, en y aventurant deux doigts curieux, je ne rencontre plus
la réticence habituelle, bien au contraire. Comme si pendant des jours, on t'avait soumise - ou que tu t'étais livrée de ton plein gré - à des intromissions prolongées afin d'assouplir l'anneau
musculeux de ton anus, de vaincre sa résistance naturelle. J'y enfonce deux doigts, puis bientôt trois réunis en faisceau. Tu te cambres, tu t'ouvres à ma main, tu te dilates.
Il n'en faut pas plus pour me faire bander. Je t'entraîne dans ma chambre, devant le grand miroir. J'attache la laisse au pied du lit. Je me couche sur le dos, et t'invite à s'asseoir sur mon
ventre.
- Crissie, encule-toi et regarde-toi dans le miroir, comme si tu voyais un film !
Je vous administrarai avec plaisir une cure de désintox. Mais il y en a encore pour de longues semaines !!!!
Et dire que cela va s’arrêter un jour !
Caty