Le blog de michel koppera
" Crissie et Monsieur K." Chapitre 22 a
Avec les effluves de la cire, la chaleur dans la cabine est devenue presque suffocante. Sur le front et les tempes de Sonia perlent des gouttes de sueur. Moi-même, je me sens moite. Toi seule donne l’impression de n’être en aucune façon incommodée par la chaleur ; cela semble même te stimuler au plus haut point, si j’en juge par la complaisance que tu mets à te cambrer en écartant les fesses et par la mouillure qui suinte de ta vulve entrebâillée.
Je ne tarde pas à abandonner mes vêtements et à vous rejoindre. Sonia est en nage. Je pose les mains sur ses hanches majestueuses. Comme toi, elle a le ventre intégralement glabre, avec un large pubis aussi dodu et moelleux qu’un édredon, deux gros seins aux aréoles sombres, une peau veloutée habituée aux onguents les plus onctueux. J’ose une caresse sur sa croupe ; elle se laisse faire, m’encourage même à aller plus loin en écartant un peu les jambes. Je bande à mort. Je me penche vers toi et te parle tendrement à l’oreille :
- Crissie, je crois que Sonia attend que toi aussi tu t’occupes d’elle…