Le blog de michel koppera
Pierre Louÿs, "Pybrac", quatrains 141 à 144
Je n'aime pas à voir une fille admirable
S'accroupir, s'enculer, s'empaler sur mon vit
Et grouiller du derrière et frissonner du râble
En disant :" Branle pas ! Mon amour ! Ça suffit !"
Je n'aime pas à voir la brune couturière
Qui, voyant sa cliente en pantalon fendu
Lui fourre un doigt mouillé dans le trou du derrière
Et lui dit :" C'est meilleur par où c'est défendu."
Je n'aime pas à voir la môme qui jaspine
Que sa gousse a le con plus feuilleté qu'un chou
Et qu'on s'enfile avec une espèce de pine
Mais tout comme une bitte et faite en caoutchouc.
Je n'aime pas qu'au lit, la mère sans scrupule
Branle son fils, le fasse horriblerment bander
Puis s'enconne en disant :" Baise-moi donc, crapule !
Fous-moi la pine au cul sans me le demander."