Le blog de michel koppera

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 29 a

crissie29a

Et puis, nous roulons sur le lit épuisé d’étreintes. Je concentre toute mon attention sur mon vagin qui s’ouvre, s’élargit, se creuse afin que ta queue raide et massive, coiffée de sperme chaud, s’y enfonce au plus profond, que ton pubis prenne appui sur mon clitoris, le presse, le masse puissamment. Allongée sur le dos, je m’abandonne au poids de ton corps qui m’écrase, à ta main qui me pétrit le sein gauche comme si tu cherchais à saisir mon cœur. Mes jambes repliées sur tes fesses nues t’attirent en moi, crissie29a-2mes mains te tiennent fermement par les hanches. Je ne suis plus qu’un sexe-ventouse qui aspire, engloutit et dévore sa proie vivante. Je cherche ton regard ; je veux y lire les traces de ta jouissance, comme tu vas y lire la montée de la mienne. L’orgasme fulgurant explose dans mon ventre juste au moment où je vois danser dans tes yeux clairs la petite flamme cruelle de la perversité… et je dois avouer que ce n’est pas pour me déplaire.

Jeu 10 déc 2015 Aucun commentaire