Le blog de michel koppera
Aujourd'hui, je vous propose deux tableaux de Stu Mead ayant comme point commun de tourner la mort en dérision. La mort étant ici représentée par le cimetière. Le cimetière devient dans ces deux tableaux un lieu de vie. mais pas n'importe quelle vie, pas une petite existence routinière mais un espace de liberté où s'épanouit une sexualité sans tabous, telle que l'homosexualité des deux gamines ou l'urolagnie joyeuse avec un zombie. Le tableau avec les deux gamines n'a pas de titre, le second s'appelle tout simplement "Zombie"
Mer 3 fév 2016
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