Le blog de michel koppera
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 177 à 180
Je n'aime pas à voir la nièce consentante
Qui, douce, et toute nue, et la main sur les yeux
Darde sa langue au cul de son énorme tante
Et pleurniche :" Maman, j'aime encor mieux les vieux."
Je n'aime pas à voir un vit solide et large
Enculer une Agnès immonde, qui s'en fout,
Et qui crie :" Eh ! Maman ! Faut-il que je décharge ? "
Et se tord le derrière avec un rire fou.
Je n'aime pas à coucher dans l'herbe à la campagne
Avec une bergère aux tétons chauds et droits
Qui s'empoigne les poils, prend sa main pour un pagne
Mais qui laisse mon vit passer entre les doigts.
Je n'aime pas à voir la jolie Argentine
Qui trousse la nounou, lui promet un louis,
Caresse le téton, fait bander la tétine
Et se la plante au sexe en criant :" Je jouis !"