Le blog de michel koppera
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 273 à 276
Je n'aime pas qu'un vit monstrueux, large et rude,
Un vit ivre de viol s'engouffre tout entier,
D'un seul coup, dans le saint trou d'une prude
Qui depuis vingt-sept ans n'a pas d'autre métier.
Je n'aime pas la couche ample et familiale
Où trois filles se font enculer à la fois
Par leurs frères, devant leur maman qui chiale
Se masturbe et s'encule avec ses propres doigts.
Je n'aime pas la jeune Anglaise un peu tribade
Qui dit, montrant ses sœurs, sa tante et sa maman :
" Leur coup de langue est bon, mais leur foutre est si fade
Que je préfère la pine de mon amant."
Je n'aime pas à voir, puissamment enculée,
La fille florentine, à poil, creusant les reins,
Ses deux fesses, couleur chair de Sienne brûlée
Et l'anus cramoisi dans le cul noir de crins.