Le blog de michel koppera
" Black, blanc, beur", chapitre 4
La situation devenait franchement scabreuse. Pourtant, j'ai continué de lécher la fente d'Amina, incapable de dominer mes désirs.
Les deux gars sont venus tout près de nous. Je les ai entendus déboucler leurs ceinturons et ouvrir leurs braguettes. Slimane s'est s'agenouillé derrière moi, a retroussé ma robe, a glissé sa main entre mes fesses et m'a fouillé la chatte avec les doigts. J'étais trempée. Malgré mon aversion pour les Arabes, j'avais envie de sa bite comme jamais. Il m'a prise en levrette. Son sexe m'a paru long et fin, si long que son gland circoncis me caressait voluptueusement le col de l'utérus. Pendant ce temps, grimpé sur le bord du lavabo, Kevin se faisait tailler une pipe par Amina. La bouche toujours collée à sa vulve, je remuais les fesses pour mieux sentir la bite de Slimane me ramoner le vagin. Passant les mains sous mes bras, il a déboutonné ma robe et sorti mes seins de mon soutien-gorge. Mes grosses loches l'excitaient autant que mon cul. Il les a saisis à pleine paume, peloté leur chair laiteuse et agacé les tétons durs comme des framboises à peine mûres. Ses caresses m'ont rendue folle. C'était la première fois de ma vie que je faisais l'amour à plusieurs, que je léchais le sexe d'une femme, que je prenais du plaisir avec un inconnu, jeune et arabe de surcroît.
Je crois que c'est Kevin qui a joui le premier, en plein dans la bouche d'Amina qui a recraché le sperme sur son ventre. Quelques gouttes épaisses et gluantes ont ruisselé jusqu'à sa fente. L'odeur fade du foutre s'est mêlée à celle de son vagin, c'est ce qui a précipité la montée inexorable de mon orgasme. Je me suis sentie partir, le cul tendu à la rencontre de la bite de Slimane qui continuait de me peloter les seins. Alors mon vagin et mon anus ont été parcourus de spasmes, j'en ai eu le souffle coupé. Le temps s'est arrêté et j'ai savouré ma jouissance. Slimane a attendu que je reprenne vie pour se lancer à nouveau à l'assaut de mon cul. Abandonnant la vulve luisante d'Amina, je l'ai encouragé :
- Vas-y, défonce-moi. N'aie pas peur de me faire mal, et balance-moi tout ton foutre bien au fond. Je veux te sentir gicler !
Comment ai-je pu employer ces mots ? C'était comme si c'était une autre personne qui parlait, une Nathalie secrète et inconnue. Effectivement, je l'ai bien senti balancer sa purée en plein dans la matrice à grands coups de reins puissants.
On est encore restés un peu dans les toilettes, le temps de retrouver nos esprits, de remettre de l'ordre dans nos vêtements et d'effacer les traces de foutre qui collaient à nos peaux rassasiées. Ils m'ont raccompagnée jusqu'à ma voiture. On s'est dit au revoir sur le parking. Je les ai remerciés pour tout, Amina m'a fait la bise, j'ai serré la main des gars. Sur le chemin du retour, j'ai senti du sperme de Slimane suinter de ma vulve. Arrivée à la maison, j'ai filé à la douche et je suis restée un bon quart d'heure à me laver de ma souillure, à tenter de tout effacer de mon corps et de ma mémoire...
à suivre...