Le blog de michel koppera
" Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 52
Aux heures brûlantes de la sieste, allongée nue sur le drap, Aurélie était encore en proie à la plus vive excitation. Les cuisses écartées, les genoux un peu relevés, la main gauche à se triturer alternativement les tétons entre le pouce et l’index, la main droite à se branler énergiquement, elle cherchait une jouissance qui fuyait sous ses doigts.
- Tu te rends compte, ton oncle n’a reconnu que lui ! Et dire qu’on croyait qu’ils étaient côte à côte sur la photo… Dis, tu vas essayer d’en savoir plus, c’est ton oncle, après tout… Fais-le pour moi, s’il te plaît !
Elle était tellement mouillée que l’agitation de ses doigts provoquait un petit clapotis. C’était magique ! Alors, je me suis agenouillé à la tête du lit pour glisser ma queue raide entre ses lèvres. Et sa bouche qui venait d’avaler un déjeuner dominical composé de tomates-mozarella, de côtelettes d’agneau grillées accompagnées d’un gratin de courgettes, de salade verte du jardin, de fromage de chèvre frais, d’une tarte aux fraises du jardin, le tout arrosé d’un petit verre de porto, de deux autres de beaujolais, d’un café et d’eau fraîche, sa bouche que j’avais regardée mastiquer avec son habituelle obscénité discrète, sa bouche aux lèvres toujours entrouvertes, sa bouche chérie a volontiers tété ma bite et avalé mon sperme comme la dernière friandise d’un repas de fête.
- Tu sais que demain, le Tour de France passe dans le coin ? J’en ai parlé à ton oncle… T’es partant ?
Je n’ai pas dit non. Je n’avais pas vraiment le choix. Avec Mireille, ils avaient déjà préparé les sandwichs, les œufs durs, les bières et le rosé, les glacières et les sièges pliants…
à suivre...