Le blog de michel koppera
"À découvert", chapitre 4
4. Ces deux premiers rendez-vous furent suivis d’une demi-douzaine d’autres, assez semblables. À chaque fois, j’éprouvais les mêmes intenses émotions et Anne avait à chaque fois les mêmes réactions, à savoir une réelle excitation pendant son exhibition, puis quelques heures plus tard venaient les remords et un certain dégoût d’elle-même. Elle se promettait alors de ne plus jamais recommencer, m’accusant de chercher à l’humilier et de manquer totalement de sens moral. Cependant, dans la boîte aux lettres, on ne trouvait plus ni lettres de rappel, ni menaces d’huissier. Mieux, à la fin du mois, on a pu se racheter une télé toute neuve ! Aussi, lorsqu’elle reçut sur sa boîte mail une proposition de rendez-vous dans un hôtel de la périphérie, non loin de l’autoroute, elle accepta sans même m’en informer.
Ce qu’il y a de commode dans ce genre d’établissement, c’est qu’on peut accéder librement aux chambres sans passer par la réception. Les chambres étaient regroupées dans deux petits bâtiments à deux étages, posés dans un parc arboré. Je me souviens encore du numéro de la chambre : le A217. En ce samedi après-midi d’automne, il tombait une petite pluie fine mais persistante. Anne avait revêtu sa tenue habituelle. La porte de la chambre était entrouverte. L’homme qui nous y attendait assis au bord d’un des lits jumeaux avait une cinquantaine d’années. Il était très gros – sans doute plus de 120 kilos – avec une bedaine imposante et un cou empesé de graisse, mais des mains très fines chargées de lourdes bagues. Il avait le regard vif et une voix fluette, presque enfantine. Sur le bureau, près de la télé allumée, il avait déjà déposé l’enveloppe contenant la rémunération de la future prestation d’Anne. Lorsqu’elle me présenta à celui qui disait s’appeler Monsieur Roger, en lui précisant que je serais présent pendant toute la séance, celui-ci me regarda d’un air entendu en répétant : « Je vois, je vois… »
Au début, tout se déroula selon le scénario désormais habituel : effeuillage, auto-caresses, exhibition cuisses et fesses grands ouvertes, présentation ostentatoire des trous humides, masturbation clitoridienne. Monsieur Roger la regardait faire avec intensité, avec le regard ravi d’un gamin au cirque, lorsque tout à coup, il rompit le silence :
- Cinquante euros de plus si vous acceptez de me sucer.
Anne qui était à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, une main entre les cuisses en train de s’astiquer, marqua un temps d’arrêt. Elle tourna la tête vers moi et m’interrogea du regard. Je lui répondis d’un haussement d’épaules… Je retins mon souffle.
Alors Anne changea de position et vint s’agenouiller entre les grosses cuisses de Monsieur Roger assis au bord de l’autre lit. Mon cœur battait à tout rompre. Avec des gestes précis mais presque tendres, Anne déboutonna la chemise blanche de Monsieur Roger, caressa son torse et son énorme ventre velu, puis elle déboucla son ceinturon, ouvrit sa braguette et, fouillant dans son pantalon, en sortit une très grosse bite, déjà bandante, assortie de couilles volumineuses et poilues. Elle entreprit de la branler à deux mains pour la durcir encore. De mon côté, debout dans une encoignure, comme en proie à la fièvre, j’avais moi aussi ouvert mon pantalon, sorti ma queue que je caressais vigoureusement. Lorsqu’elle le jugea assez excité, Anne se pencha vers le ventre de Monsieur Roger et engloutit d’un seul coup son énorme engin. Tout en lui caressant les couilles à pleine paume, elle se mit à le pomper avec la constance d’un piston, allant et venant dans un bouillonnement de salive sucrée. Monsieur Roger en avait le visage congestionné et s’efforçait tant bien que mal de retarder l’échéance. Une main posée dans les cheveux d’Anne, il tentait de freiner ses ardeurs. Mais rien n’y faisait, elle pompait de plus belle.
C’est moi qui ai joui le premier, en éclaboussant la moquette d’une éjaculation puissante. Je n’en pouvais plus de bonheur. Monsieur Roger me suivit de près en soufflant comme un phoque avec de petits cris aigus. Son sperme épais et abondant déborda bientôt à la commissure des lèvres d’Anne qui avala le tout sans rechigner, n’en perdant aucune goutte…
Quelques dix minutes plus tard, alors que nous quittions en voiture le parking de l’hôtel, Anne qui recomptait ses billets me dit :
- Alors, tu t’es bien rincé l’œil toi aussi ! Finalement, c’était pas mal. Tu sais, je suis sûre que si tu n’avais pas été là, je n’aurais jamais osé… Pas parce que j’aurais eu peur, non ! J’ai accepté uniquement parce que j’ai lu dans tes yeux que tu en avais envie, et c’est ton envie qui a fait naître en moi la même envie… Chacun de nous y trouve son compte.
Ce jour-là, j’ai compris que notre relation venait d’entrer dans une ère nouvelle.
à suivre...
La scène de la pipe me fait penser à ma nièce, six mis après je la présentais à ma maitresse qui la faite saillir par son chien. Bien dressée, elle nous sert d'objet à tout faire, vraiment tout