Le blog de michel koppera

Photo n° 14

socio14

Trois places pour le Paradis

De toute évidence, nous ne sommes pas face à une photo de studio mais au cœur de l'environnement quotidien d'un foyer. On y trouve tout de qui compose leur univers familier : des meubles fonctionnels encombrés d'objets plus ou moins utiles, plus ou moins permanents, certains plus ou moins chargés de souvenirs, d'autres éphémères... Alors se côtoient les portraits de famille, le rouleau de papier de ménage, les flacons de produits de beauté, les bibelots, les bouteilles d'alcool, un bouquet de fleurs artificielles, une corbeille de médicaments, une station météo domestique... Il y a tant de choses à voir et chacune semble vraiment à sa place ! On est dans la salle de séjour dont la table en bois massif est recouverte d'une toile cirée. Pas de canapé, ni de fauteuils et encore moins de chaises. On a juste étalé un matelas en mousse sur le carrelage pour que ce soit un peu plus confortable...

C'est un trio. La femme est blonde, mature. Pour l'occasion, elle a mis un collant noir qui lui découvre le ventre et les fesses, ainsi qu'une paire d'escarpins noirs pour faire plus sexy. Ses deux partenaires sont intégralement nus. Lequel est son mari ? Celui qui est appuyé sur la table et à qui elle taille une pipe ou celui qui est allongé sur le matelas et qui lui lèche la vulve ? Car, de toute évidence, elle est la maîtresse de maison, c'est elle qui reçoit ! Personnellement, je serais tenté de croire que le mari est le suceur et l'invité le sucé... C'est une soirée programmée, organisée. On est sans doute au cœur de la nuit... Demain matin, tout sera oublié !

Ven 16 fév 2018 1 commentaire
Ce n'est un intérieur bourgeois, plutôt classe moyenne supérieure ; on avait sorti les bouteilles pour trinquer avec l'invité avant de passer à l'action en trio (quatuor avec le photographe ?!). Nous sommes chez la belle blonde mature qui reçoit un homme, plus jeune qu'elle, en présence de son mari. Celui-ci lui lèche la vulve de sa femme cachée dans la toison qui recouvre largement son pubis (la dame ne daigne pas suivre la mode des sexes glabres et son mari-amant ne s'en plaint pas). L'homme appuyé contre la table de salle à manger a un corps bien entretenu, pas de bedaine ni de poignées d'amour. Elle lui caresse son membre dressé tout en le suçant avidement les yeux clos... La composition trace une diagonale qui part du bas de l'image jusqu'au coin supérieur droit, sur laquelle toute la scène sexuelle est placée : une montée au septième ciel pour le jeune puceau qui reçoit cet hommage de la maîtresse de maison ?
Milène - le 17/02/2018 à 16h36