Le blog de michel koppera
L'été est aussi propice aux découvertes, aux initiations et aux trangressions. On y découvre souvent toutes les formes et variantes du désir et de l'amour. Les barrières et les tabous tombent... Les adolescent(e)s éprouvent leurs premiers émois, leurs premiers orgasmes salvateurs... Avec le soleil et la promiscuité des corps, tout semble permis...
Je me dois de répondre à Mathieu et à Gilles sur cet article. Notre divergence d'appréciation vient sans doute du fait que nous ne sommes pas de la même génération. J'avais 16 ans à l'été 1968 et les deux étés qui ont suivi (ceux de 1970 et 1971) ont été ceux d'une incroyable libération des moeurs et de la sexualité en particulier. Il se trouve que j'ai passé ces deux étés à la mer et qu'ils furent le cadre de mes premiers grands émois sensuels, d'une mutltitude de rencontres, d'expériences inédites, de découvertes insolites... L'été est depuis resté dans ma chair comme la saison des amours et de l'amour libre, sans tabous, sans contrainte, des corps nus et heureux de l'être ...
Peut-être y a-t-il donc davantage de nuance à prendre en considération, ne croyez-vous pas ?...