Le blog de michel koppera
" JEU DÉCISIF ", chapitre 8
CAROLE ET FRANÇOIS
- C'est comment chez lui ?
- C'est propre et bien rangé, mais on sait tout de suite qu'on est chez un célibataire.
- C'est à dire ?
- Ça manque de chaleur. je ne saurais t'expliquer. C'est quelque chose que j'ai ressenti, comme une absence. Par exemple, il n'y a pas de photos personnelles, pas un portrait...
- Ça t'a gênée ?
- Pas du tout. De toute façon, je ne m'étais pas invitée pour feuilleter des albums de famille !
- Allez, raconte-moi tout. Vous avez commencé par quoi ?
- Par des photos, justement.
- De cul ?
- Non... Enfin, pas vraiment. Il m'a demandé de poser en tenue de sport, avec ma jupette plissée, mon tee-shirt mauve, mes tennis, mes socquettes blanches et ma raquette. C'était marrant. Il me tournait autour pour me photographier sous tous les angles.
- Ce n'est pas très sexy !
- Détrompe-toi. Je peux t'assurer qu'il était à l'étroit dans son short. Et plus il me prenait en photo, plus je mouillais. Puis il m'a demandé de me mettre en position comme si j'allais recevoir un service et il est venu s'agenouiller derrière moi pour prendre les photos.
- Il t'a touchée ?
- Pas à ce moment-là ! Mais le bruit des clichés pris en rafale était super excitant. J'ai été la première surprise de sentir l'effet que ça me faisait : j'avais le ventre en sueur...
- Et après ?
- On s'est assis face à face dans le salon, chacun dans son fauteuil. Il m'a demandé de retrousser la jupe jusqu'à la taille et d'écarter les jambes. Il m'a dit qu'il n'avait jamais vu un pubis comme le mien, aussi bombé, aussi sexuel... Il a su trouver les mots pour me flatter. Sa voix grave était rassurante, je ne pouvais rien lui refuser. Il n'employait aucun mot vulgaire, ne me donnait aucun ordre. Il me proposait et je le faisais. Je n'obéissais pas, j'acceptais.
- Il ne faisait que parler ?
- Non. Il avait baissé son short jusqu'aux genoux et se caressait la bite en me parlant de mon ventre. Son sexe était dressé, droit comme un "I" majuscule. Incroyablement dur. J'en étais morte d'envie.
- Parle-moi encore de sa bite.
- Tu ne vas pas être jaloux ? Non ? Sa bite est toute droite, moins grosse mais plus longue que la tienne. Elle me fait penser à une asperge. Le gland n'est pas beaucoup plus gros que le reste. Il a de belles couilles plus sombres et le pubis couvert d'épais poils bruns très doux au toucher. Sa bite est aussi agréable à sucer...
- Parce que tu lui as taillé une pipe ?
- Oui, deux fois. La première fois, il a failli me jouir dans la bouche. On était tête-bêche sur le canapé, lui allongé dessous, moi à quatre pattes au-dessus de lui. Il me léchait la vulve pendant que je lui suçais la queue. Je dégoulinais, il lapait tout comme un chien. Je l'ai senti venir et je l'ai retiré à temps pour qu'il me lâche tout sur le visage. C'était bon, tu ne peux pas savoir !
à suivre...