Le blog de michel koppera
" Ball-trap" # 5/9
C'est au moment où j'avais de nouveau fermé les yeux et où je rêvais de m'envoler au-dessus du lac pour m'échapper que mes trois bourreaux me ramenèrent à ma triste condition. En effet, tout en me suçant en alternance les mamelons, Marianne avait ouvert les pantalons des deux hommes et en avait sorti leur bites en érection. Elle me saisit par les poignets et guida mes mains vers les deux engins prêts à l'emploi. À l'aveugle, ils me parurent si gros que je ne pus résister à la tentation de rouvrir les yeux pour les regarder. Mon Dieu ! Ils étaient énormes, avec des glands cramoisis et luisants comme s'ils avaient été enduits de graisse. Le plus impressionnant était celui de l'Ardennais, avec une racine poilue et des couilles de taureau andalou. J'arrivais à peine à le tenir d'une main : un véritable gourdin taillé pour défoncer les chattes. Je me suis surprise à jalouser Marianne qui pouvait à sa guise se faire ramoner le vagin par une bite de compétition digne des meilleurs films pornos. Bien que plus modeste par la taille, le sexe de Daniel n'était pas en reste : plus fin, plus élégant et, surtout, circoncis. C'était la première fois de ma vie que j'en voyais un en vrai, la première fois que j'en avais un en main.
- Tu vas leur tailler une pipe, ils l'ont bien mérité !
De quoi Marianne voulait-elle parler ? Je n'ai pas eu le temps d'approfondir la question, j'étais déjà remise debout, face aux deux mecs assis au bord de la table, le pantalon baissé et la bite au garde-à-vous.
- Allez, feignasse, au boulot !
Marianne m'a forcée à me pencher en avant pour sucer la bite circoncise de Daniel sans lâcher l'énorme queue de son mari. Mes fesses étaient à sa disposition. Elle avait retroussé ma robe jusqu'à la taille et ses mains caressaient ma croupe dans tous les sens, toujours plus près du grand sillon.
- Vas-y, suce pouffiasse, que ta grande bouche de salope soit aussi profonde et juteuse que ta moule qu'on va se faire un plaisir de baiser. Mais t'avise pas de me faire jouir, je veux garder mon foutre pour ton ventre...
De ma main libre, je continuais de branler la queue monstrueuse de l'Ardennais. J'aurais tout donné pour ne pas avoir à la sucer. Rien que d'y penser j'en avais la nausée. Pourtant, la bite de Daniel n'était pas désagréable au goût. Le gland bien dégagé permettait à ma langue d'en faire le tour, de jouer avec comme avec un bonbon... En d'autres circonstances, elle m'aurait convenu.
Pendant ce temps, derrière moi, Marianne s'activait. Elle avait baissé ma culotte et, à genoux, m'inspectait la raie culière. Je sentais son haleine chaude courir entre mes fesses. Elle faisait des commentaires à haute voix pour exciter les deux mâles :
- Elle a le cul aussi lisse que la moule. Pas un poil en vue ! Une vraie peau de bébé, aussi laiteuse et douce. Et pour ne rien gâter, propre comme un sou neuf. T'as l'air serrée. Je parie que t'es vierge du cul ! (elle me posa un doigt sur l'anus et l'enfonça doucement. J'ai instinctivement serré les fesses) C'est bien ce que je pensais, t'es pucelle de l'arrière-train. Et bien, ma belle dodue, aujourd'hui c'est un grand jour. Tu vas enfin devenir une vraie femme, une femelle à trois trous à bite. Tu verras, après coup, tu nous diras merci !
Elle retira son doigt et, dans la foulée, m'écarta les fesses des deux mains et se mit à me lécher sur toute la longueur de la raie, du mont de Vénus au bas des reins, passant sa langue chaude et souple sur mon clito, ma vulve, mon périnée, le trou de mon cul où elle s'attardait plus que de raison.
- Mon Dieu, pensais-je, je me fais gouiner comme dans les films de cul.
à suivre...