Le blog de michel koppera
Exercices d'écriture # 4
1 . La photo
2 . Les textes
Le mari :
Madame de la Motte-Veuillé allait sortir de la voiture garée sur un parking d'autoroute réservé aux poids lourds, lorsque son mari avait constaté la présence de routiers qui discutaient entre eux mais avaient tous le regard attiré par cette femme qui descendait d'un SUV dont la hauteur imposait à la passagère en robe un mouvement qui peut-être découvrirait ses cuisses.
Comprenant qu’elle était l'objet de ces regards, son mari, lui dit : " Relève ta robe que ces travailleurs de la route se souviennent de cette pause."
La comtesse, qui venait de voir ces yeux tournés vers ses cuisses répondit : "Chiche ! "
Et elle releva sa robe découvrant non seulement ses cuisses fines mais aussi son string dont le voile transparent laissait voir un pubis épilé avec soin et la fente naissante dont il n'y avait pas à douter de la douceur des rebords auxquels ses grandes lèvres rentrées dessinaient un arrondi parfait.
Elle resta ainsi quelques instants, trop brefs pour satisfaire son mari car il avait la secrète envie qu’ils s’approchent d’elle et qu’elle les suce à tour de rôle.
L’un des routiers s’approcha, fixa le sexe de la comtesse, lui fit signe de la suivre.
Elle se leva, le suivit et monta dans son camion.
L'amant :
C'était la première vraie belle journée de l'année. Soleil à volonté. Pour l'occasion, on avait pique-niqué au bord d'un lac où glissaient des cygnes. On devait être une douzaine d'invités éparpillés sur l'herbe. La chaleur aidant, Hélène avait abusé du rosé de Provence servi frais au sortir des glacières. Aussi, au moment du départ, son mari m'avait discrètement attiré à l'écart.
- Je crains qu'Hélène ne soit pas en état de conduire. Si vous pouviez prendre le volant, je serais rassuré. Je vous retrouverai plus tard au manoir... Je suis désolé de vous demander ce service mais je dois d'abord raccompagner des amis...
- Vous pouvez compter sur moi. Partez tranquille !
Elle était vraiment éméchée. Je m'en suis rendu compte lorsque j'ai ouvert la portière de sa voiture pour qu'elle y prenne place côté passager. À peine assise, elle a soulevé sa jupe et écarté les cuisses.
- Vous croyez que je n'ai pas remarqué que pendant tout l'après-midi vous m'avez reluquée pour savoir si j'avais mis une culotte. Voilà, vous avez la réponse !
L'ivresse la rendait vulgaire et encore plus désirable. En route à travers la forêt, elle a continué :
- Avec tout ce que j'ai bu, je crois que je vais devoir faire un arrêt pipi. Ça vous exciterait de me regarder pisser ? Vous préférez que je fasse ça accroupie ou debout comme un mec ? Et après, vous me montrerez votre bite pour que je la suce... et vous pourrez me jouir dans la bouche, j'avalerai votre foutre jusqu'à la dernière goutte !
Elle était charmante . Mais, définitivement ivre de ses propres paroles, sa main gauche posée sur ma braguette, sa main droite à l'ouvrage dans sa culotte transparente, elle s'est endormie d'un seul coup...
C'est vrai que cela rend le trajet plus agréable de pouvoir profiter l'un de l'autre...