Le blog de michel koppera
Une fois n'est pas coutume, je serai sérieux. Voici une photo que j'ai réalisée un après-midi d'hiver sur la côte atlantique. Je l'ai intitulée "Confinement". Les bancs vides, le ciel gris et l'horizon exempt de toute trace humaine, m'ont semblé réprésentatifs de ces deux trop longues années, de la rupture violente des liens sociaux, de la souffrance de l'absence des autres...
Ven 11 fév 2022
2 commentaires
En même temps il n’est pas interdit alors que (presque) tout l’était par ailleurs d’imaginer durant cette période les couples hommes/femmes, femmes/femmes, hommes/hommes s’adonner confinés chez eux
aux plus excentriques outrages, à une « débauche de sexe compensatoire » mêlant l’habituel aux découvertes de pratiques nouvelles, au mélangisme , triolisme, exhibitionnisme, voyeurisme,
candaulisme entre voisins, que les plus prudes tentent la sodomie, et que dans les alcôves sombres l’odeur du gel hydroalcoolique ait été remplacée par celle, suave, que laisse flotter dans l’air
le sexe lorsqu’il est pratiqué intensément…
Stéphane - le 12/02/2022 à 10h12
Personnellement, durant le confinement, je ne trouvais rien de plus réjouissant que les images de toutes ces capitales du monde enfin vidées de leur grotesque tumulte. Ca donnait envie d'y être et
d'avoir les rues désertes, les monuments pour soi tout seul.
Mathieu Réau - le 26/02/2022 à 04h31