Le blog de michel koppera
Philippe Djian : "Sotos"
Second extrait du roman. Pages 482-484 : Mani, juste avant le dénouement du récit, est enfin parvenu à ses fins avec Marion. Il se souvient de cette première nuit d'amour. En cadeau, elle lui a laissé sa petite culotte
" J'ai promené la culotte de Marion sur mon front, sur mes yeux, sur mes lèvres, puis je l'ai reniflée de toutes mes forces.
Elle m'a mis un doigt dans le cul. J'ai cru que ma bite allait doubler de volume et l'étouffer. Je lui caressais la fente jusqu'au coccyx avec le côté intérieur de mon pied, pendant ce temps-là. je l'ai regardée déglutir, encore arc-bouté sur mon siège, les quelques poils de ma poitrine se tortillant à l'envers. Je n'étais pas sûr de pouvoir éjaculer encore mais je bandais toujours. Je l'ai donc mise à quatre pattes, après avoir pris soin de lui renifler sa culotte à mi-cuisses et je lui ai badigeonné les tuyaux du bout de ma queue jusqu'à ce que j'obtienne une mousse onctueuse et que son discours devienne incohérent. Comme je refusais de l'enfiler, histoire de la taquiner, elle est allée se branler contre le pied de la table, un meuble de jardin recouvert d'une substance élastique. Pour lui montrer que je n'étais pas jaloux, je me suis enduit la bite de mayonnaise, l'ai enroulée dans une tranche de jambon et suis venu m'astiquer sous ses yeux. Elle a voulu me sucer encore. Je l'ai laissée faire. Je regardais d'un œil attendri le filet de bave qui lui coulait aux lèvres. Puis je m'y suis collé à mon tour. Je me demandais si elle allait me pisser dans la bouche. Je sentais mes cheveux soudés par paquets sur mon front, mon visage tout entier dégoulinant d'une espèce de blanc d'œuf. Elle m'a tenu la figure entre ses mains pendant que je l'embrassais et lui en mettais quelques coups dans le cul. Ensuite, il a fallu qu'elle serre les jambes pour que nous puissions baiser, sinon ça dérapait dans tous les sens. J'aurais pu y passer mon poing. Et puis c'est revenu comme par miracle. On ne s'y attendait pas. Elle avait placé un oreiller derrière sa tête et je lui présentais de nouveau ma bite. C'était pourtant un moment assez calme. Mais elle la prenait à peine en main, tendait juste les lèvres quand j'ai senti un spasme éclairer tout mon corps. Je lui ai arrosé proprement toute la face. Et elle souriait encore que de petits jets continuaient de lui goutter sur le ventre."
Il y a longtemps, j'ai partagé pendant quelques années la vie d'une femme qui adorait que je lui éjacule sur le visage et sur les seins. Elle aimait l'odeur et la texture du sperme, elle me disait aussi que c'était bon pour sa peau !!!