Le blog de michel koppera

C'est maintenant au tour de Ferdinand de se trouver seul en "tête-à-tête" avec madame Gorloge (pages 174 à 176 de la version numérique PDF)

" Où ça que vous partez, Ferdinand ?

– Faire une petite commission... Jusqu'au boulevard... voir une cliente !

– Ah ! Vous en allez pas comme ça !... qu'elle me fait contrariée... Remontez donc un peu en haut ! ... J'ai juste deux mots à vous dire."

Ça va... Je l'accompagne... Robert file à son rendez-vous.

À peine qu'on était entrés, elle referme la lourde, elle boucle tout, en plus elle met les deux loquets... Elle me précède, elle passe dans la chambre... Elle me fait signe aussi de venir... Je me rapproche... Je me demande ce qui arrive... Elle se met à me faire des papouilles... Elle me souffle dans le nez... "Ah ! Ah ! " qu'elle me fait. Ça l'émoustille... Je la tripote un peu aussi...

" Ah ! le petit salopiaud, il paraît que tu regardes dans les trous, hein ?... Ah ! dis-moi donc que c'est pas vrai ?... "

D'une seule main comme ça en bas, elle me masse la braguette... "Je vais le dire à ta maman, moi. Oh ! là ! là ! le petit cochon !... Chéri petit cochon !..."

Elle s'en fait grincer les dents... Elle se tortille... Elle m'agrippe en plein... Elle me passe une belle langue, une bise de voyou... Moi j'y vois trente-six chandelles... Elle me force de m'asseoir à côté sur le plume... Elle se renverse... Elle retrousse d'un coup toutes ses jupes...

" Touche ! Touche donc là !" qu'elle me fait...

Je lui mets la main dans les cuisses...

" Va ! qu'elle insiste... Va ! Gros chouchou ! ... Va profond ! vas-y... Appelle-moi Louison ! Ta Louison ! mon petit dégueulasse ! Appelle-moi, dis !..."

"Oui, Louison !"... que je fais...

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Elle se redresse, elle m'embrasse encore. Elle enlève tout ... Corsage... corset... liquette... Alors je la vois comme ça toute nue... la motte si volumineuse... ça s'étale partout... c'est trop... Ça me débecte quand même... Elle m'agrafe par les oreilles... elle me force à me courber, à me baisser jusqu'à sa craquouse... Elle me plie fort... elle me met le nez dedans... C'est rouge, ça bave, ça jute, j'en ai plein les yeux... Elle me fait lécher... ça remue sous la langue... ça suinte ... Ça fait comme une gueule d'un chien.

" Vas-y, mon amour ! ... Vas-y tout au fond !"

C'est elle qui me maltraite, qui me tarabuste... Je glisse moi dans la marmelade... J'ose pas trop renifler... j'ai peur de lui faire du mal... Elle se secoue comme un panier...

" Mords un peu, mon chien joli ! ... Mords dedans ! Va !" qu'elle me stimule... Elle s'en fout des crampes de ruer ! Elle pousse des petits cris-cris... Ça cocotte la merde et l'œuf dans le fond, là où je plonge... Je suis étranglé par mon col... le celluloïd... Elle me tire des décombres... Je remonte au jour.. J'ai comme un enduit dans les châsses, je suis visqueux jusqu'aux sourcils... " Va ! déshabille-toi ! qu'elle me commande, enlève-moi  tout ça ! Que je voye ton beau corps mignon ! Vite ! Vite ! Tu vas voir, mon petit coquin ! T'es donc puceau ? Dis, mon trésor ? Tu vas voir comme je vais bien t'aimer ! ... Oh ! le gros petit dégueulasse... il regardera plus par les trous ! ..."

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Elle se trémoussait tout le croupion en attendant que je m'amène !... Elle remuait tout le plumard en zig-zag... C'était une vampire... J'osais pas trop en ôter. Seulement le carcan qui me gênait le cou davantage.. Et puis mon veston et le gilet... C'est elle qui les a pendus près du lit, sur le dos de la chaise... Je voulais pas tout enlever mes frusques... comme faisait Antoine... Je savais que j'avais de ma merde au cul et les pieds bien noirs... Je me sentais moi-même... Pour éviter qu'elle insiste, je me suis relancé au plus vite, je faisais l'amoureux, je grimpe, j'étreins, je grogne... Je me mets en branle comme Antoine, mais alors beaucoup plus doucement... Je sentais mon panard qui vadrouillait tout autour... Je bafouillais dans la mousse... J'avais le gland perdu... J'osais pas y mettre les doigts.. Il  aurait fallu pourtant... Je lui perdais encore la craquette... Enfin j'ai glissé en plein dedans... Ça s'est fait tout seul... Elle m'écrasait dans ses nichons ! Elle s'emmanchait au maximum... Comme on étouffait déjà, c'était une fournaise... Elle voulait encore que j'en mette... Elle n'implorait pas pitié comme à l'autre enflure... Au contraire, elle me faisait pas grâce d'un seul coup de bélier...

" Enfonce-toi bien mon gros chouchou ! Enfonce-la, va ! Bien au fond ! Hein ! t'en as, dis, une grosse belle bite ?... Ah ! Ah ! comme tu me crèves, gros salaud ... Crève-moi bien ! Crève-moi ! Tu vas la manger ma merde ? Dis-moi oui ! Oh Oh !...Ah ! tu me défonces bien... Ma petite vache !... Mon grand petit fumier ! ... C'est bon comme ça ! Dis ? " Et hop ! Je lui foutais un coup de labour... J'en pouvais plus ! ... Je renâclais... Elle me sifflait dans la musette... J'en avais plein le blaze, en même temps que ses liches... de l'ail... du roquefort... Ils avaient bouffé de la saucisse... 

" Jouis bien, mon, petit chou ! Ah ! jouis... On va juter en même temps ! ... Dis ! tu sors pas mon trésor d'amour ! ... Tu me mets tout dedans... Va ! T'occupe pas !..." Elle se pâmait, elle prenait du gîte... Elle se retournait presque sur moi... Je sentais monter mon copeau... Je me dis au flanc... "Bagarre Mimile..." J'avais beau être dans les pommes... le temps d'un éclair... je m'arrache... Je fous tout dehors... Il lui en gicle... plein sur le bide... Je veux serrer... Je m'en remplis les deux mains. "Ah ! le petit bandit voyou !... qu'elle s'écrie... Oh ! le sale crapaud répugnant ! Viens vite ici que je te nettoie... " Elle repique au truc... Elle me saute sur le gland en goulue... Elle pompe tout... Elle se régale ! ... Elle aime ça la sauce... "Oh ! qu'il est bon ton petit foutre !" qu'elle s'exclame en plus. Elle m'en recherche tout autour des burnes... Elle fouille dans les plis... Elle fignole... Elle va se faire reluire encore... Elle se cramponne à genoux dans mes jambes, elle se crispe, elle se détend, elle est agile comme un chat avec ses grosses miches. Elle me force à retomber sur elle...

" Je vais t'enculer petit misérable ! "... qu'elle me fait mutine. Elle me fout deux doigts dans l'oignon. Elle me force, c'est la fête ! ... La salope en finira pas de la manière qu'elle est remontée ! ...

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Ven 28 avr 2023 Aucun commentaire