Le blog de michel koppera
Le con de Juliette
Le con de Juliette, noir corbeau,
Dont les poils poussent sur les cuisses
S'ouvre à la manière d'un tombeau
Sur la raideur du clitoris.
J'aimerais passer à mon gland
La bague fourrée de son vagin
Et toucher le bout du sein blanc
Pendant qu'elle sucerait mon engin,
Et sentir son con en fièvre
Qui suinte, bâille et mouille,
Mon doigt qui écarte ses lèvres
Et sa main qui masse mes couilles.
Mais je ne connais de Juliette
Que le sein blanc et le con,
Je n'ai jamais vu sa tête
Ni entendu sa bouche qui dit non.
Le con de Juliette, noir corbeau,
Dont les poils poussent sur les cuisses
S'ouvre à la manière d'un tombeau
Sur la raideur du clitoris.
J'aimerais passer à mon gland
La bague fourrée de son vagin
Et toucher le bout du sein blanc
Pendant qu'elle sucerait mon engin,
Et sentir son con en fièvre
Qui suinte, bâille et mouille,
Mon doigt qui écarte ses lèvres
Et sa main qui masse mes couilles.
Mais je ne connais de Juliette
Que le sein blanc et le con,
Je n'ai jamais vu sa tête
Ni entendu sa bouche qui dit non.
Mar 6 nov 2007
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