Le blog de michel koppera
Chapitre 4, page 66, Maximilien Bémol se trouve pour la première fois dans un sex-shop, et voilà ce qu'il voit :
"Derrière la caisse, il y avait un grand poster épinglé au mur. En relief, en trois dimensions, un truc à se fatiguer la
rétine. D'une main lasse, le caissier lui tendit une paire de lunettes : un verre bleu, l'autre rouge. Atttention les yeux ! Comme par miracle, tout rentrait dans l'ordre, le brouillard
prenait forme. Un mètre sur deux. Une femme blonde à la poitrine qui s'avançait dans le vide et menaçait de s'effondrer sur la tête du caissier. Les lèvres aspirantes, le ventre rond et surtout
le sexe béant, au fond de l'entonnoir des cuisses écartées. la femme s'ouvrait la vulve avec les doigts et, à travers les lunettes, c'était comme si elle appelait Maximilien pour lui offrir
une tranche de ses lèvres vaginales à sucer. Le clitoris pâle ressemblait à un petit os déboîté qui cherchait à percer sous la chair."