Le blog de michel koppera
- Le temps n'est plus à l'homme, il est aux choses. Je pensais à cela en écoutant la radio qui relate la visite du colonel K en France, où celle de notre
président il y a peu en Chine puis en Algérie.
- Le mot "texte" a la même étymologie que tissu. Ainsi, le lecteur est-il une mouche vibrante prise au piège de la toile patiemment et perfidement tissée par l'écrivain-araignée dont les huit membres nouent l'intrigue et jonglent avec les mots.
- Le canapé, ou l'apologie de la paresse et de la luxure.
- Lu dans un article encyclopédique consacré au chat :" Le chat est le seul félin qui grimpe aux arbres à tout propos sans trop savoir comment en redescendre."
- Vision : " En plein soleil, l'inconnue de la plage se caressait les seins, éblouissant ma pge de délicats dessins au sombre pelage. Sans oublier la peau blanche, cent pour cent polyamide, de ses hanches, et les mains repliées sur sa fatale ride. Jeune fille aux seins plus légers qu'une ombre, et frivoles, juste posés sur la peau, sans prétention. Tel était lecorps lent de la baigneuse qui tirait des lignes d'écume dans son sillage maladroit, lorsque le vent jouait et dansait sur le sable courant."
- Je voulais écrire un mot ensoleillé à l'encre noire, mais la plume n'a tracé qu'une triple haie de branches nues.
- Et si le bonheur n'était qu'une succession d'instants où l'on oublie un peu la mort ?
- Le mot "texte" a la même étymologie que tissu. Ainsi, le lecteur est-il une mouche vibrante prise au piège de la toile patiemment et perfidement tissée par l'écrivain-araignée dont les huit membres nouent l'intrigue et jonglent avec les mots.
- Le canapé, ou l'apologie de la paresse et de la luxure.
- Lu dans un article encyclopédique consacré au chat :" Le chat est le seul félin qui grimpe aux arbres à tout propos sans trop savoir comment en redescendre."
- Vision : " En plein soleil, l'inconnue de la plage se caressait les seins, éblouissant ma pge de délicats dessins au sombre pelage. Sans oublier la peau blanche, cent pour cent polyamide, de ses hanches, et les mains repliées sur sa fatale ride. Jeune fille aux seins plus légers qu'une ombre, et frivoles, juste posés sur la peau, sans prétention. Tel était lecorps lent de la baigneuse qui tirait des lignes d'écume dans son sillage maladroit, lorsque le vent jouait et dansait sur le sable courant."
- Je voulais écrire un mot ensoleillé à l'encre noire, mais la plume n'a tracé qu'une triple haie de branches nues.
- Et si le bonheur n'était qu'une succession d'instants où l'on oublie un peu la mort ?
Mar 11 déc 2007
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