Le blog de michel koppera
- L'aube pyromane dévore l'horizon saignant.
Poème d'été.
" À la plage
En maillot noir
Elle dénoua
Son corsage
D'un autre âge
Et son buste lourd
Et son ventre gourd
Que le désir laboure
De ses doigts sourds
Le souffle court.
À la plage
Elle donnait à voir
L'ombre noire
D'un aoûtrage.
- Après tout, une baignoire, ce n'est qu'un bidet où on peut s'asseoir en entier.
- Travaux pratiques. " Dis, tu veux bien qu'on soit amis ? Rien qu'amis !" dit-elle en me sortant de ses doigts fiévreux la queue du pantalon.
- Au village. Il y avait autrefois un propriétaire terrien assez fortuné et coureur de jupons. Les paysans l'avaient surnommé " Le marquis du Gros Noeud "
- Ce n'est pas de mourir qui est angoissant, mais d'attendre la mort bien vivant.
- Conversation.
- Vous vivez seule, mais alors, comment faites-vous avec vos désirs ?
- Je me débrouille toute seule.... Je m'arrange.
- Vous vous branlez ?
- Oh, non ! Je n'ai pas le temps
Poème d'été.
" À la plage
En maillot noir
Elle dénoua
Son corsage
D'un autre âge
Et son buste lourd
Et son ventre gourd
Que le désir laboure
De ses doigts sourds
Le souffle court.
À la plage
Elle donnait à voir
L'ombre noire
D'un aoûtrage.
- Après tout, une baignoire, ce n'est qu'un bidet où on peut s'asseoir en entier.
- Travaux pratiques. " Dis, tu veux bien qu'on soit amis ? Rien qu'amis !" dit-elle en me sortant de ses doigts fiévreux la queue du pantalon.
- Au village. Il y avait autrefois un propriétaire terrien assez fortuné et coureur de jupons. Les paysans l'avaient surnommé " Le marquis du Gros Noeud "
- Ce n'est pas de mourir qui est angoissant, mais d'attendre la mort bien vivant.
- Conversation.
- Vous vivez seule, mais alors, comment faites-vous avec vos désirs ?
- Je me débrouille toute seule.... Je m'arrange.
- Vous vous branlez ?
- Oh, non ! Je n'ai pas le temps
Mer 19 déc 2007
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