Le blog de michel koppera
Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le
lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier
la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai
totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais
quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
c'est tout à ton honneur !
j'aime me sentir devenir objet sexuel, livrée à une pine qui me fourre bien les trous !