Le blog de michel koppera
Le narrateur reçoit la visite inopinée de Fabienne, une jeune femme un peu perdue. Tard dans la nuit, elle lui raconte la mésaventure qui lui est
arrivée quelques mois plus tôt, une nuit, sur une route isolée du Maroc où des compagnons de voyage l'avaient laissée entre les griffes de policiers véreux afin d'échapper à une forte
amende. Elle raconte alors comment elle s'était retrouvée en compagnie des policiers dans le fourgon de police :
" C'est le chef qui est passé le premier, celui qui avait le plus de
barrettes à son uniforme. Lui, c'était pas vraiment un problème. Pas bavard, le type, mais plutôt beau mec : la quarantaine cheveux noirs, moustache, torse musculeuux, bien bâti, avec des mains
aux doigts secs mais légers. Une belle bite avec ça ! Moi, j'ai rien contre les mecs circoncis. Au contraire, ça peut éviter de mauvaises surprises. Il a fait son truc dans les règles, avec calme
et méthode. Je l'ai sucé, il m'a baisée, point barre ! Rien que du classique. Ah si, j'allais oublier : il m'a léché la chatte, un peu, juste avant de me la mettre au fond. Peut-être qu'il avait
peur que je ne sois pas mouillée, ce en quoi il se trompait complètement : j'étais déjà trempée. Il m'a prise sur la banquette, en me tenant fermement les hanches pour bien s'enfoncer. Je n'ai
pas senti grand-chose, comme d'habitude : je suis trop large, et puis, j'étais tellement excitée que j'avais le vagin tout huileux. Pour jouir, il a ressorti son engin et m'a balancé son sperme
sur le nombril. Ca a fait comme une petite mare blanche et visqueuse sur mon ventre."