Le blog de michel koppera
Dernière nouvelle du recueil, Annie Grosses-Loches présente une jeune mère de famille dotée, comme son nom l'indique d'une très grosse poitrine.
Elle partage pendant quelque temps la vie du narrateur qui en brosse un portrait à la fois ironique et tendre.
" Annie avait le con tellement
large qu'elle ne sentait presque rien quand elle baisait. Elle avait toujours été comme ça, même avant d'avoir Juju. Elle s'était résignée à
se faire fister, mais elle trouvait ça plutôt dégradant. Avec une petite noix de vaseline, je lui mettais la main entière dans le vagin et je lui caressais le col de l'utérus. Parfois, elle
arrivait à jouir. "
" Quand elle était bien disposée, Annie acceptait une branlette espagnole.
- Si tu y tiens ! disait-elle un sein dans chaque main. je ne vois vraiment pas ce que tu y trouves de si excitant.
- Ca te gêne ? Tu sais, tu n'es pas obligée..
- Je sais. Tu le faisais avec ta femme ?
- Jamais ! Elle n'était pas assez libérée pour ça.
- vas-y, prends ton temps. Quandtu sentiras que ça vient, préviens-moi pour que tu me jouisses dans la bouche."