Le blog de michel koppera

En juillet 1991, alors que j'étais éperdument amoureux d'une femme qui me rendit très malheureux et me fit presque mourir d'amour, j'écrivis un haïku pour accompagner ce tableau de Max Ernst. Aujourd'hui encore, je ne peux encore dire tout ce que je ressens à la vue de cette oeuvre, étrange mélange de souffrance et de bonheur. Demeurent intactes la magie des mots et la sereine douceur des couleurs des bords de Loire...
     
   Blanche de désir,
           Enroulée sur elle-même,
                     Mon amour s'endort.

Dim 22 mar 2009 Aucun commentaire