Le blog de michel koppera
Je me souviens de Brigitte Bardot…
Le corps et la voix de Brigitte Bardot ont accompagné mon adolescence et même une partie de ma vie adulte. Je dis le corps et la voix, car dans mes souvenirs les deux sont indissociables. Je me souviens de la première fois où j’ai vu son corps nu, c’était je crois dans le magazine LUI , et de mon émoi au spectacle de ses poils pubiens qui n’étaient pas aussi dorés que sa superbe chevelure.
Mais le paroxysme de l’érotisme de Bardot fut atteint au cinéma dans « En cas de malheur », au cours de la scène où elle va offrir son corps à l’avocat interprété par Jean Gabin.
En chanson, outre le duo initial et interdit de « Je t’aime moi non plus » avec Gainsbourg, la version clip de « Je ne reconnais plus personne en Harley Davidson… » n’est pas mal non plus, quand elle chevauchait son engin vêtue d’une courte jupe de cuir et de cuissardes de cuir noir…
Plus tard, il y eut le désenchantement avec les « dérapages » racistes et xénophobes que l’on connaît. Elle n’en reste pas moins une icône. Récemment, j’ai découvert en surfant sur internet des photos de jeunesse – d’avant sa célébrité- où elle posait de façon plus que suggestive et ces images en noir et blanc, de qualité médiocre m’ont arraché ces quelques pensées nostalgiques
Voici quelques images en vrac : photo de plateau de tournage où on peut voir sa superbe croupe, autre photo de film où elle est couchée aux côtés de Jane Birkin, et puis les plus secrètes pour terminer.
Amen!