Le blog de michel koppera
Aujourd'hui, premier volet d'un diptique consacré à un des maîtres du dessin BDSM, j'ai nommé Loïc Dubigeon. Il est né en 1934 à Nantes et j'ai découvert ses premières oeuvres dans les années 1970 à l'occasion de la sortie d'un album où il illustrait Histoire d'O. Je vous laisse admirer...
Sam 19 jun 2010
5 commentaires
Le BDSM, c'est tout et c'est rien aujourd'hui, mais pas forcément extrême. Et c'est souvent n'importe quoi : une mode pour une partie des branchouilles parisiens, même si c'est bien sur aussi une
façon d'être avec/à l'autre via certains rites, une façon de se connaître soi, et, parfois, de découvrir des choses qu'on n'imaginait pas pouvoir ressentir.
Enka - le 19/06/2010 à 15h51
à dire vrai, je n'y connais pas grand-chose dans le bdsm. J'ai lu mes classiques comme tout un chacun ( histore d'O, Sacher Masoch, Sade... ) mais ça ne va pas plus loin. Je trouve simplement l'iconographie intéressante et ces fantasmes assez productifs au niveau de l'écrit
michel koppera
Entre le titre d'un dessin, "douces violences" et les dessins de fesses zébrées, les postures humiliantes ainsi que le port d'anneaux pour les femmes dont on n'imagine sans peine le plaisir
intérieur qu'elles éprouvent d'être ainsi mise en scène, je trouve que la lecture des classiques vous a été profitable...
Sophie - le 20/06/2010 à 07h52
Parmi ces dessins comment ne pas suffoquer de plaisirs devant ceux qui montrent ce qui pourrait être mes fesses zébrées et écartées de mes mains !
Consentante et demandant à être pénétrée par mes orifices dilatées d'énormes queues...
J'imagine la situation où, clouée, maintenue, par des bras puissants je serai contrainte pour mon bonheur à subir ces assauts répétés et ne devenant plus que des trous dans lesquels on viendrait jouir sans retenue.
Consentante et demandant à être pénétrée par mes orifices dilatées d'énormes queues...
J'imagine la situation où, clouée, maintenue, par des bras puissants je serai contrainte pour mon bonheur à subir ces assauts répétés et ne devenant plus que des trous dans lesquels on viendrait jouir sans retenue.
Sophie - le 20/06/2010 à 18h36
fabuleux, évidemment !
Malerm - le 20/04/2015 à 10h28
Offrir les larmes coulant sur son visage, les zébrures laissées sur le corps donné, les gémissements où se mêlent dans un plaisir extrême la souffrance et la douleur qui ne font plus qu'une...