Le blog de michel koppera
En 1559, dans un ouvrage intitulé « De re anatomica », Matteo Colomb, maître d’anatomie à l’université de Padoue, fit part au monde, descriptions à l’appui, de sa découverte qu’il nomma l’ « amor veneris » et qui trouva plus tard son appellation définitive d’après le mot grec kleitoris ( ou petite aspérité). Matteo Colomb soutenait que cet organe était le siège unique de la jouissance et de l’amour pour les femmes. Cette affirmation lui valut d’échapper d’extrême justesse au bûcher de l’Inquisition.
Ce n’est qu’en 1998 que l’urologue australienne Helen O’Connel a découvert la vraie nature du clitoris. Le petit bouton n’est que la partie visible de l’organe qui se prolonge et forme une sorte de pénis intérieur long d’une dizaine de centimètres.
deux vignettes de Hugdebert qui sait si bien représenter le corps et la jouissance des
femmes