Le blog de michel koppera

ZOOM n° 82, juillet-août 1981

- Photo de couverture de Jim Greenberg

zoom82

- Trois photographies signées Jean-Claude Palisse ( né en 1951 à Paris, Aujourd’hui, vit et travaille à Bruxelles). Photos où l’on voit que l’érotisme d’une image ne tient parfois qu’à un tout petit détail : un pli de tissu, un téton qui pointe sous la maille d’un lamé, un minuscule triangle de peau nue à la lisère d’un bas ou encore une constellation de taches de rousseur dans l’échancrure d’un blouson.

zoom82-1-1zoom82-1-2zoom82-1-3

- Une série de photographies publicitaires de Ryszard HOROWITZ ( né en 1939 en Pologne, déjà présenté dans le magazine ZOOM )

affiche d’auto-promotion

zoom82-2-1

Publicité pour une firme pharmaceutique pour illustrer des douleurs gastriques.

zoom82-2-2

Photos destinées à la version allemande de Playboy pour illustrer les moments de la journée d’un homme qui fantasme sur les femmes ( le rasage du matin, la première cigarette)

zoom82-2-3

Couverture d’un album consacré au violoniste électrique Michael Urbaniak : « L’extase ». Cette image a été attaquée par un groupe féministe américain parce qu’elle donnait une image avilissante de la femme

zoom82-2-4
Photo d’une campagne publicitaire pour des collants spéciaux pour femmes « fortes ».

zoom82-2-5

Enfin, une galerie de tableaux du « merveilleux petit théâtre » de François Gillet (né en 1949, installé à Stockholm, lui aussi déjà plusieurs fois présenté dans le magazine ZOOM). À revoir ces images, je me dis que Tim Burton les a forcément vues et s’en est inspiré pour certains de ses films comme «  Charlie et la chocolaterie » ou «  Alice au pays des merveilles »

zoom82-3-1zoom82-3-2zoom82-3-3zoom82-3-4zoom82-3-5zoom82-3-6

Dim 28 aoû 2011 1 commentaire
J'ai vraiment un faible pour l'érotisme des années 80, je le trouve bien plus libre et émoustillant que celui de nos années 2000. Je découvre votre blog, j'y reviendrais je pense
Pornographe Zéro - le 02/09/2011 à 17h48

Je partage votre point de vue. Les 20 dernières années marquent une régression sur le plan de l'érotisme et des moeurs en général

michel koppera