Le blog de michel koppera
FATY, Mémoires d’une fouetteuse (récit) Editions J.J. Pauvert, 1991
L’ouvroir
- Tu n’es qu’une putain ! Nous allons t’éduquer en putain, user de toi comme d’une putain ! Mais d’abord, nous allons te
dépuceler vraiment, t’enculer au gode et t’élargir pour que tu aies un gros cul bien ouvert… Désires-tu qu’on t’élargisse ?
- Oui, maîtresse ! Féminisez-moi bien : bas résille, bottines à très hauts talons, guêpière étroite qui me contraigne
sévèrement, me forme, fasse remonter le ventre et les fesses.
Il devra être évident aussi bien par les liens que par la trace des lanières et l’habillement, que je suis une chose dont on se
sert selon son bon plaisir.
Je devrai, j’insiste, être ouverte et élargie afin de devenir facile à pénétrer et à fouiller. Je devrai être aussi dépucelée
sévèrement, c’est encore là une intronisation importante à l’esclavage. Le cul sera bien préparé, massé au poivre de Cayenne ou simplement tracassé au martinet, puis bien graissé afin de prendre
un premier gode d’un diamètre déjà plus épais que la moyenne.
Pour ce faire, je serai strictement attachée, offerte et bâillonnée. Je devrai me sentir bien prise et bien violée ( Il existe,
je le signale, des enculeuses à moteur). Puis, progressivement, pendant mon dressage, je serai pénétrée de godes de plus en plus épais. À vous de décider de la réceptivité que je devrai
atteindre. On lit, dans les revues spécialisées, que certains peuvent recevoir des godes de 6,7,8 voire 9 centimètres de diamètre.
voilà qui est agréablement dit !