Le blog de michel koppera

Lien.  Rappel de l'exercice précédent :  Exercices d'écriture, # 6

Exercices d'écriture, # 7

1 : la photo

duo7

2: les textes

- Le mari

 Nous nous rendions avec mon épouse, Hélène de la Motte-Veuillé à un dîner chez l’un de nos amis, où étaient conviés certains de ses intimes ; Hélène était la seule femme.

Je lui avais demandé de s’habiller de manière à attirer le regard de tous les mâles qui seraient présents.

Évidemment bas et escarpins noirs obligatoires. Je n’avais même pas eu la peine de le lui demander.

String et soutien-gorge noirs complétaient les sous-vêtements.

En femme consciente des regards qu’elle attirerait, elle avait choisi une robe manteau noire boutonnée devant, dont elle laissa les derniers boutons ouverts.

Elle compléta sa tenue par un manteau noir d’agneau plongé.

Le dîner avait lieu à cinquante kilomètres de Paris et nous devions prendre le périphérique pour rejoindre l’autoroute du Nord.

Nous étions pris dans les encombrements du périphérique, un poids lourd était à notre droite .

Je remarquai le chauffeur qui comme beaucoup regardent si les jambes d’une passagère d’une voiture de tourisme ne seraient pas visibles.

Je profitai de l’occasion pour écarter les pans de sa robe, les remontant afin qu’il puisse voir qu’elle portait des bas et un string dont le haut en tulle noir fin et ajouré laissait deviner l’épilation parfaite.

Dans le flot ralenti de la circulation le routier faisait en sorte dé rester auprès de nous et moi de lui.

Hélène laissait ses jambes largement découvertes se prêtant au jeu.

Sur l’autoroute je fis en sorte de rouler à la même allure que lui.

Tout à coup à l'approche d'une aire de repos, il accéléra mit ses warnings et prit la bretelle d’accès à cette aire. Hélène me dit ; « Suis le ».

J’allai garer la jaguar à côté de l’endroit plutôt isolé du reste des camions au repos où il s’était arrêté.

Il descendit

je baissai ma vitre.

« J’attends votre femme dans ma cabine. »

Hélène descendit et le suivit, remontant sa robe pour accéder au marchepied du camion. Il la suivit, lui soutenant le cul pour l’aider à monter, signe de sa prise de possession, referma la porte et tira les rideaux.

Il se passa une vingtaine de minutes.

Ma femme redescendit les cheveux à peine défaits. Elle remonta dans la voiture. Une fois assise, elle remonta ses bas up qui dans les mains du routier étaient un peu descendus .

Elle me dit «  Je te raconterai plus tard, j’ai la bouche endolorie, tu n’imagines pas la taille de sa bite. D’ailleurs je n’ai pas que la bouche d'endolorie ... »

Je téléphonai à nos amis pour dire que nous aurions un peu de retard. La soirée ne faisait que commencer.

- L'amant

Ce samedi-là, un des premiers beaux jours de printemps, le mari d'Hélène avait insisté pour que je l'accompagne ; il souhaitait me faire découvrir sur le littoral, une plage très "romantique" encore préservée du tourisme. Hélène était du voyage. En cours de route, il fit halte dans un hameau afin, dit-il, de voir un de ses clients".

- Je n'en n'ai pas pour longtemps, juste quelques documents à signer !

C'est ainsi que je me suis retrouvé en compagnie d'Hélène que je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer, seul à seul, depuis plusieurs semaines. Elle m'invita à la rejoindre à l'avant, côté conducteur. À peine la portière refermée, elle me tint un discours des plus surprenants :

- Ne soyez pas dupe, me dit-elle sans me regarder, cette histoire de visite à un client n'est qu'un prétexte pour nous laisser en tête à tête. Je le connais : l'idée que nous en profitions pour nous embrasser et nous livrer à la luxure l'excite au plus haut point. Je parie même qu'en moment, il nous observe...

Ce disant, elle retroussa un peu sa jupe et écarta les cuisses...

- Et vous, demandai-je, vous en pensez quoi ?

- Moi ? Ce n'est pas pour me déplaire. Telle que vous me voyez là, je suis déjà toute mouillée rien qu'à la perspective de baiser avec vous et qu'on laisse des traces de sperme et de cyprine sur le cuir des sièges ! Vous avez déjà fait l'amour en voiture ?

- Oui... quand j'étais encore jeune.

- Moi, jamais ! Pourtant, en voiture, le confort douillet de l'habitacle et surtout les vibrations du moteur m'échauffent les sens...Vous permettez que je vous suce, rien que pour ne pas le décevoir ?

- Pourquoi pas, si ça peut lui faire plaisir. 

Mar 7 déc 2021 14 commentaires
Heureux de retrouver Hélène et ses deux complices. C'est toujours aussi jouissif.
alix52 - le 07/12/2021 à 08h43
J'adore la photo qui ne montre presque rien et suggère beaucoup. Quant aux textes, comme d'hab, on en redemande !
foufounet - le 07/12/2021 à 09h07
2 beaux exercices courts mais tellement émoustillants.. j'en suis toute mouillée....
Geraldine - le 07/12/2021 à 09h42
À travers les photos et les textes, c'est tout un monde fait de désirs inassouvis et de fantasmes qui se dévoile petit à petit au fil des épisodes. On se plaît à suivre les aventures du trio dans lequel on peut facilement trouver un protagoniste à qui s'identifier... Ils nous ressemblent tellement !
soliste - le 07/12/2021 à 10h37
Dans l’exercice du candaulisme l’éjacultion par un tiers dans le sexe la bouche ou l’anus de sa chérie reste un fantasme bien présent…
Stéphane - le 08/12/2021 à 07h14
J'ai un cousin chauffeur routier qui serait ravi de vivre une pareille aventure !!!!!
sergedu59 - le 08/12/2021 à 08h38
Deux fantasmes bien ancrés dans notre imaginaire : la partie de cul sur un parking d'autoroute, dans une cabine de routier, avec le petit rideau pour l'intimité ; puis l'amour en voiture plus difficile de nos jours que naguère, à cause de toute cette technologie et commandes entre les sièges avant... Le levier de vitesse n'évoque même plus une belle bite en érection !
marco - le 08/12/2021 à 09h52
Je ne sais pas si le fantasme candauliste est plus répandu chez les hommes que chez les femmes. Personnellement, j'ai partagé la vie d'une femme qui prenait un plaisir évident à me regarder faire l'amour à l'une de ses amies... Mais c'est la seule. Par contre, plusieurs hommes, toujours mariés, m'ont dit qu'ils aimeraient voir leur épouse baiser avec un homme, un inconnu de préférence ! Je ne saurai jamais s'ils étaient passés du fanstasme à l'acte
dynamo - le 08/12/2021 à 16h02
Pour répondre à Dynamo: le candaulisme était pour moi 1 fantasme caché et récurrent depuis des années. Lorsque j’ai rencontré 1 femme dont j’étais passionnément amoureux et terriblement jaloux j’ai eu l’occasion de mettre en pratique. Ce sont les émois sexuels les plus intenses presque dévorants que j’ai connus. La douleur de voir sa femme se faire pénétrer en même temps qu’une excitation violente m’ont maintes fois mis à rude épreuve. Parfois plusieurs hommes se succédaient en elle devant moi j’étais à la fois tétanisé et excité. Je me masturbe encore très souvent en convoquant ces souvenirs.
Stéphane - le 08/12/2021 à 20h37
On pourrait échanger pendant des heures nos points de vue sur le candaulisme : perversion, masochisme, simple libertinage... ? Pour ma part, je le conçois comme un moyen d'atteindre un plaisir plus intense dans le partage. Je me souviens que lorsque j'étais ado, on racontait que les Inuits (à l'époque on disait encore Esquimaux) en signe d'hospitalité offraient leur épouse à ceux qui venaient leur rendre visite... Par contre, on ne disait pas s'ils assistaient à l'accouplement de leur femme avec l'inconnu de passage...
Sammy - le 09/12/2021 à 08h13