Mardi 7 décembre 2021 2 07 /12 /Déc /2021 08:00

Lien.  Rappel de l'exercice précédent :  Exercices d'écriture, # 6

Exercices d'écriture, # 7

1 : la photo

duo7

2: les textes

- Le mari

 Nous nous rendions avec mon épouse, Hélène de la Motte-Veuillé à un dîner chez l’un de nos amis, où étaient conviés certains de ses intimes ; Hélène était la seule femme.

Je lui avais demandé de s’habiller de manière à attirer le regard de tous les mâles qui seraient présents.

Évidemment bas et escarpins noirs obligatoires. Je n’avais même pas eu la peine de le lui demander.

String et soutien-gorge noirs complétaient les sous-vêtements.

En femme consciente des regards qu’elle attirerait, elle avait choisi une robe manteau noire boutonnée devant, dont elle laissa les derniers boutons ouverts.

Elle compléta sa tenue par un manteau noir d’agneau plongé.

Le dîner avait lieu à cinquante kilomètres de Paris et nous devions prendre le périphérique pour rejoindre l’autoroute du Nord.

Nous étions pris dans les encombrements du périphérique, un poids lourd était à notre droite .

Je remarquai le chauffeur qui comme beaucoup regardent si les jambes d’une passagère d’une voiture de tourisme ne seraient pas visibles.

Je profitai de l’occasion pour écarter les pans de sa robe, les remontant afin qu’il puisse voir qu’elle portait des bas et un string dont le haut en tulle noir fin et ajouré laissait deviner l’épilation parfaite.

Dans le flot ralenti de la circulation le routier faisait en sorte dé rester auprès de nous et moi de lui.

Hélène laissait ses jambes largement découvertes se prêtant au jeu.

Sur l’autoroute je fis en sorte de rouler à la même allure que lui.

Tout à coup à l'approche d'une aire de repos, il accéléra mit ses warnings et prit la bretelle d’accès à cette aire. Hélène me dit ; « Suis le ».

J’allai garer la jaguar à côté de l’endroit plutôt isolé du reste des camions au repos où il s’était arrêté.

Il descendit

je baissai ma vitre.

« J’attends votre femme dans ma cabine. »

Hélène descendit et le suivit, remontant sa robe pour accéder au marchepied du camion. Il la suivit, lui soutenant le cul pour l’aider à monter, signe de sa prise de possession, referma la porte et tira les rideaux.

Il se passa une vingtaine de minutes.

Ma femme redescendit les cheveux à peine défaits. Elle remonta dans la voiture. Une fois assise, elle remonta ses bas up qui dans les mains du routier étaient un peu descendus .

Elle me dit «  Je te raconterai plus tard, j’ai la bouche endolorie, tu n’imagines pas la taille de sa bite. D’ailleurs je n’ai pas que la bouche d'endolorie ... »

Je téléphonai à nos amis pour dire que nous aurions un peu de retard. La soirée ne faisait que commencer.

- L'amant

Ce samedi-là, un des premiers beaux jours de printemps, le mari d'Hélène avait insisté pour que je l'accompagne ; il souhaitait me faire découvrir sur le littoral, une plage très "romantique" encore préservée du tourisme. Hélène était du voyage. En cours de route, il fit halte dans un hameau afin, dit-il, de voir un de ses clients".

- Je n'en n'ai pas pour longtemps, juste quelques documents à signer !

C'est ainsi que je me suis retrouvé en compagnie d'Hélène que je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer, seul à seul, depuis plusieurs semaines. Elle m'invita à la rejoindre à l'avant, côté conducteur. À peine la portière refermée, elle me tint un discours des plus surprenants :

- Ne soyez pas dupe, me dit-elle sans me regarder, cette histoire de visite à un client n'est qu'un prétexte pour nous laisser en tête à tête. Je le connais : l'idée que nous en profitions pour nous embrasser et nous livrer à la luxure l'excite au plus haut point. Je parie même qu'en moment, il nous observe...

Ce disant, elle retroussa un peu sa jupe et écarta les cuisses...

- Et vous, demandai-je, vous en pensez quoi ?

- Moi ? Ce n'est pas pour me déplaire. Telle que vous me voyez là, je suis déjà toute mouillée rien qu'à la perspective de baiser avec vous et qu'on laisse des traces de sperme et de cyprine sur le cuir des sièges ! Vous avez déjà fait l'amour en voiture ?

- Oui... quand j'étais encore jeune.

- Moi, jamais ! Pourtant, en voiture, le confort douillet de l'habitacle et surtout les vibrations du moteur m'échauffent les sens...Vous permettez que je vous suce, rien que pour ne pas le décevoir ?

- Pourquoi pas, si ça peut lui faire plaisir. 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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