On va terminer en beauté. Je n'ai pu résister au plaisir de vous offrir en guise de bouquet final, la suite du chapitre "Les filles" du roman Américan Psycho.
Extrait pages 227 à 229. La soirée est loin d'être finie...
"Fatigué de tenir l'équilibre, je me laisse tomber de Christie et me couche sur le dos, mettant la tête de Sabrina devant ma queue énorme et raide, que je lui introduis dans la bouche, me branlant tandis qu'elle me suce le gland. J'attire Christie vers moi, et tout en lui ôtant ses gants, l'embrasse à pleine bouche, la léchant, écrasant ma langue contre la sienne, aussi profondément qu'elle puisse aller dans sa gorge. Elle se doigte le con, si mouillée que l'on dirait que tout le haut de ses cuisses est enduit d'une substance huileuse, luisante. Je repousse la tête de Christie pour qu'elle aide Sabrina à me sucer, et toutes les deux me sucent tour à tour le gland et la queue, puis Christie descend à mes couilles gonflées, douleureuses, grosses comme deux petites prunes, et se met à les lécher, avant de les avaler entièrement et de les masser, de les sucer alternativement, une à une, les séparant avec sa langue. Puis Christie remonte vers ma queue que Sabrina suce toujours, et elles commencent à s'embrasser à fond, juste au-dessus du gland, l'inondant de salive, sans cesser de me branler. Pendant ce temps, Christie continue de se masturber, trois doigts dans le vagin, le clito trempé de mouille, gémissant. Excité, je l'attrape par la taille et la fais pivoter, mettant son sexe à hauteur de mon visage, sur lequel elle s'assoit avec reconnaissance. Propre, rose, mouillé, dilaté, le clito gonflé de sang, son con est à présent au-dessus de moi, et j'y plonge mon visage, ma langue, me régalant de son goût, tout en lui doigtant l'anus. Sabrina s'occupe toujours de ma queue, branlant la base, le reste entièrement dans sa bouche, puis elle passe sur moi, et je lui arrache sa culotte, de manière à ce que son cul et son sexe soient face à Christie, à qui je fais baisser la tête. " Lèche, suce-lui le clito", ce qu'elle fait.
La position n'est guère confortable pour nous trois, et cela ne dure que deux ou trois minutes, pendant lesquelles Sabrina jouit cependant sur le visage de Christie, tandis que Christie, se frottant vigoureusement le con contre ma bouche, jouit sur le mien et je suis obligé d'aggriper ses cuisses et de les maintenir fermement pour qu'elle ne me brise pas le nez en s'agitant. Je n'ai toujours pas joui et, comme Sabrina ne fait rien de particulier avec ma queue, je la lui retire de la bouche et l'assoit au-dessus. Ma queue glisse en elle, presque trop facilement – son con est trempé, baigné de sa propre mouille et de la salive de Christie, et le frottement est inexistant – et, ôtant l'écharpe du cou de Christie, je me retire et, lui écartant le sexe, je le lui essuie, ainsi que ma queue, avant de recommencer à la baiser, sans cesser de bouffer le con de Christie, que j'amène à un nouvel orgasme en l'espace de quelques minutes. Les deux filles sont face à face – Sabrina assise sur ma queue, Christie sur ma tête –, et Sabrina se penche pour sucer et pincer les seins de Christie, petits et fermes. Puis Christie embrasse Sabrina à pleine langue, tandis que je continue à la bouffer, la bouche, le menton et les joues trempés de sa mouille, qui sèche un moment, avant d'être remplacée par une nouvelle décharge.
Je repousse Sabrina et l'allonge sur le dos, la tête au pied du lit. Puis j'allonge Christie sur elle, en soixante-neuf, le cul en l'air. Après avoir enfilé un préservatif, je lui doigte l'anus afin de le détendre, de le dilater et, avec un minimum de vaseline, à ma grande surprise, je la pénètre sans difficultés, tandis que Sabrina lui bouffe le con, faisant aller ses doigts, suçant le clito gonflé, saisissant quelquefois les couilles et les serrant doucement, agaçant mon trou du cul d'un doigt mouillé, puis Christie se penche sur le con de Sabrina et, lui écartant brutalement les jambes, aussi largement que possible, commence à y plonger la langue, mais pas très longtemps, car un nouvel orgasme la saisit et, se retournant pour me regarder, le visage luisant de mouille, elle crie :" Baise-moi, je jouis, merde, bouffe-moi, je jouis", et je me mets à la baiser furieusement, tandis que que Sabrina continue de lui bouffer la chatte, le visage barbouillé de sa mouille. Je me retire du cul de Christie et force Sabrina à me sucer la queue, avant de pénétrer de nouveau le con dilaté de Christie et, au bout de deux minutes, je commence à jouir, au moment même où Sabrina, abandonnant mes couilles, écarte mes fesses et, à l'instant où je vais décharger dans le con de Christie, me fourre sa langue dans mon trou du cul qui se contracte et palpite, prolongeant mon orgasme, puis Sabrina retire sa langue, gémissant qu'elle va jouir aussi, car après avoir joui, Christie continue de sucer Sabrina et je les regarde, penché au-dessus de Christie, haletant, tandis que Sabrina fait sans cesse aller et venir ses hanches, se frottant contre le visage de Christie, puis je me laisse aller en arrière, vidé mais la queue toujours raide, luisante, encore douloureuse de la violence de l'orgasme, et ferme les yeux, les genoux faibles, tremblants.
Je ne me réveille que lorsque l'une d'elles heurte mon poignet accidentellement. J'ouvre les yeux, et leur dis de ne pas toucher à ma Rolex, que je n'ai pas quittée durant tout ce temps. Elles sont allongées paisiblement, une de chaque côté, caressant parfois ma poitrine, passant de temps à autre une main sur les muscles de mon ventre. Au bout d'une demi-heure, me voilà de nouveau excité. Je me lève et me dirige vers l'armoire où, à côté du pistolet à clous, sont posés un cintre affuté, un couteau de boucher rouillé, une boîte d'allumettes du Gotham Bar and Grill et un cigare à demi-fumé, me retournant, nu, mon sexe en érection tendu devant moi, je leur présente les accessoires et explique d'une voix basse, rauque :" Nous n'avons pas encore fini..." Une heure plus tard, je les reconduirai à la porte avec impatience, toutes deux rhabillées et sanglotant, en sang, mais bien payées. Christie aura probablement un bel œil au beurre noir et de sérieuses éraflures sur les fesses à cause du cintre. Des Kleenex froissés, maculés de sang, joncheront le sol à côté du lit, ainsi qu'une boîte vide d'épices italiennes, que j'ai prise chez Dean & Deluca. "
 
									
			
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