inédits

Vendredi 24 mai 2024 5 24 /05 /Mai /2024 08:00

 

Exercices d'écriture N° 17

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Les 2 textes

 

 1 : Le texte du mari

Nous avions laissé le temps un peu passer. Après la partie de chasse, j’avais compris que Michel aurait sans doute préféré jouir seul de ma femme, bien qu’il lui soit arrivé à plusieurs reprises de se l'offrir devant moi.

Je lui avais donc demandé de passer à la maison boire un verre.

Hélène était habillée simplement pour la circonstance : un chemisier un peu ample, très sage, une robe de daim beige claire en forme, des escarpins en daim beige et noir. Pour l’avoir vue s’habiller, je savais qu’elle portait un string,  un soutien gorge panthère, et des bas-up chair.

Une fois Michel arrivé, nous nous installâmes au salon devant un verre de scotch. Hélène était assise auprès de Michel sur le canapé.

Après quelques banalités d’usage, Michel demanda à ma femme : « Alors Comtesse, comment se porte votre trou du cul depuis votre expérience avec un groupe de chasseurs ? » Manifestement il n’avait pas encore digéré l’utilisation cynégétique qui avait été faite de sa maîtresse.

Hélène lui répondit, en souriant que je lui avais appliqué un baume réparateur divin et qu’elle était aussi serrée qu’auparavant.

Michel rit de bon cœur et posa sa main sur le genou de ma femme remontant sa jupe jusqu’à la lisière du bas. " Décidément, Comtesse, on ne peut vous prendre en défaut. Votre aristocratique élégance n’est jamais démentie, vous avez le souci du détail. Vous savez que vous me faites déjà bander et que je n’ai rien sous mon pantalon ?"

Je dis à ma femme de ne surtout pas faire attention à moi. Hélène me fit un clin d’œil et sans autre forme de procès, déboucla la ceinture du pantalon de Michel qu’elle déboutonna ainsi que la braguette et mit la main dedans pour en ressortir sa bite dressée après quelques caresses savantes, la main allant et descendant sur le sexe, dont je dois reconnaître qu'il est beaucoup plus imposant que le mien. Elle se pencha ensuite sur le gland qu'elle avait savamment découvert, y déposa quelques baisers avant de l’engloutir dans sa bouche.

Je me suis permis de lui dire : " Arrondis bien ta bouche ma chérie, Michel a horreur que tu le griffes avec tes adorables dents !"

Hélène se releva :" Cher Cocu, je sais parfaitement ce que j’ai à faire" et elle se remit consciencieusement à sa besogne.

À voir la satisfaction de Michel, je ne pouvais que me rendre à l'évidence : ma Comtesse de femme lui taillait une pipe royale, façon ancien régime.

En même temps qu’il se faisait pomper, je vis le regard de Michel se fixer sur une peinture du salon, représentant un ecclésiastique du 17ème siècle, accroché au-dessus d’un commode régence, les deux faisant partie du patrimoine de la famille.

Michel releva la tête d'Hélène par les cheveux et lui dit : " Votre aïeul me donne des idées blasphématoires, après tout vous venez bien de célébrer « le temps de l'accueil et du rassemblement ! »

Et la relevant, il l’amena devant la commode, juste en dessous de l'aïeul, lui demanda de se pencher et de bien se tenir à la commode, ce qu’elle fit et alors il releva sa jupe, découvrant ses longues jambes dans ses bas chair, et ses fesses dont la raie était épousée par la ficelle du string.

Michel prit sa bite, écarta la ficelle et s’introduisit dans la chatte bien mouillée de ma femme. Il commença alors de doux mouvements de va et vient. Hélène poussait de petits gémissements qui, avec le mouvement qui s'accéléraient, devenaient de plus en plus forts, pour jouir bruyamment.

Malgré la situation, la Comtesse ne perdait jamais son sens de l’humour et dit : Si ma culture eucharistique est juste, vous venez, mon cher Michel, sous les yeux de mon aïeul, de me célébrer un alléluia."

– Comtesse, lui dit-il, je ne sais ce que je préfère chez vous votre esprit ou vos fesses. Sans doute les deux d’ailleurs.

Hélène allait se retirer mais Michel appuya une main sur les épaules de ma femme qui dut garder la position.

– Comtesse votre éducation religieuse a des lacunes, vous oubliez l’offertoire ! Alors, tenant toujours la ficelle du string écartée, il plaça son gland devant le trou du cul de la Comtesse de la Motte Veuillé et l’encula d’un coup.

Il allait et venait dans le cul de ma femme, à mon plus grand plaisir, et lui,  prit le sien sous les nouveaux gémissements de la Comtesse.

– Effectivement, j’ai pu constater que le baume que vous a appliqué votre mari, vous a bien resserré le cul. Allez en paix ma sœur, vous avez mon absolution."

 

2. Le texte de l'amant

Après un trop long hiver pluvieux et venteux, c'était enfin les premiers beaux jours. Hélène avait rangé ses manteaux et ses pulls en pure laine vierge dans le dressing. Ce jour-là, elle portait une jupe courte, un chemisier de soie et des escarpins délicats. Elle m'accueillit dans son bureau dont la baie vitrée donnait sur le parc. Je m'attendais à les voir tous les deux mais elle était seule. Elle me parut un peu nerveuse. Avant même que je ne lui pose des questions, elle s'empressa de me dire que son mari était absent mais qu'elle ignorait où il était ! Dans le manoir, tout était rangé, chaque meuble, chaque objet à sa place. Aucune faute de goût, aucun grain de poussière... C'était trop.

– Si ça se trouve, il est là, caché quelque part, à nous regarder... Je ne vous apprends rien : ça l'excite de nous voir ensemble. Alors, il faut jouer le jeu, vous me comprenez...

– Je crois, oui... Qu'est-ce qu'il veut exactement ?

– Qu'on baise, tout simplement.

– Et vous, qu'en pensez-vous ?

– À votre avis ?

À chacun de ses gestes, elle était nimbée d'un souffle de Chanel n° 5. Je la regardais s'affairer près de son secrétaire où avait été ostensiblement posé un livre d'art à la couverture ornée d'un nu langoureux. Mon regard suivait le ballet de ses belles jambes gainées de bas couleur chair, le cliquetis de ses talons sur le carrelage immaculé, le frémissement de la soie qui épousait ses seins, la danse balinaise de ses mains que j'imaginais déjà fourrageant dans mon pantalon à la recherche de ma queue raide.

Mais déjà elle s'éloignait et m'invitait à la suivre dans une sorte de cabinet particulier sobrement meublé d'une élégante commode. Elle s'arrêta pour me montrer un tableau accroché au mur. Il s'agissait du portrait d'un prélat à la mine solennelle. Hélène m'expliqua qu'il s'agissait d'un lointain aïeul de la famille qui avait vécu il y avait plus de deux siècles. Pendant qu'elle me donnait le nom de l'ancêtre et me retraçait sa carrière épiscopale, elle avait retroussé sa jupe et me présentait ses fesses nues, à peine vêtues de la ficelle de son string assorti aux couleurs de son chemisier.

– Michel, je vais vous demander une faveur. Je veux que vous me preniez en levrette devant lui... Rien que d'y penser, j'en ai la chatte toute baveuse... Vous pouvez vérifier ! Je veux qu'il voie votre bite disparaître entre mes fesses écartées, qu'il respire à pleins poumons l'odeur de ma mouillure vaginale et cette de votre sperme chaud, qu'il m'entende jouir...

Mais qui était ce "LUI" dont elle me parlait ? Son aïeul immobile dans son cadre ou son mari en embuscade ?

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 12 mars 2024 2 12 /03 /Mars /2024 08:00

Exercices d'écriture n° 16

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Les textes

Le texte du mari

 

Michel avait fait venir au Château du Ruisseau six de ses amis, chasseurs, j’étais avec eux dans le salon, nous discutions. Michel les avait prévenus d’une partie de chasse particulière, ce qui ne manquait pas de les étonner puisque nous étions au mois d’août.

Il vint nous rejoindre et expliqua que le terrain de chasse allait être divisé en six parcelles, chacun devant se tenir sur sa parcelle, qui lui serait attribuée par tirage au sort.

La particularité était que chacune des parcelles avait une configuration biscornue, afin que chacune soit mitoyenne des autres et composée de chemins boisés, haies, bosquets, landes, clairières..

Michel fixa ensuite les règles de la chasse : il allait lâcher une biche dans le domaine une demi-heure avant que les chasseurs ne gagnent leur parcelle pour traquer la biche.

Il sortit et revint avec ma femme, Hélène de la Motte-Veuillé ; elle était nue ne portant que des bottes et un blouson ouvert qui découvrait ses seins.

–  Voilà la Biche ! Avec son mari, nous allons la conduire sur le terrain. Elle aura une demi-heure d’avance sur vous. À elle de vous échapper. Vous disposerez d’une heure pour la trouver, sans évidemment sortir de votre parcelle. Celui qui la capturera aura droit de cuissage au retour.

Nous partîmes en Land Rover avec Hélène et Michel la déposa donc quasiment à poil, au centre des parcelles lui disant : " Maintenant, Comtesse, débrouillez vous !"

Ensuite Michel me mena, pour que nous puissions suivre la traque, sur un mirador dont l’emplacement nous permettait de couvrir l'intégralité du terrain de chasse. Il disposait de jumelles puissantes et d’un micro directionnel permettant d’entendre très distinctement à plusieurs centaines de mètres.

Ainsi nous avons vu Hélène se diriger vers des taillis pour se cacher. Les chasseurs sont arrivés sur leur parcelle une demi-heure après, leurs chiens aboyant.

Ayant cherché à se dissimuler, Hélène était sur la parcelle que le sort avait dévolue au plus jeune des chasseurs, la trentaine, 1m80 bel homme.

Son chien sentait la piste. Il le lâcha.

Le chien arriva près du taillis débusqua Hélène toute nue. Le chien se planta devant elle et s'immobilisa.

Le chasseur laissa le chien la renifler et dit à Hélène : « Comtesse je vous ai trouvée, vous connaissez la signification du succès de ma traque » Elle répondit que oui. Il prit son cor et sonna, signifiant que le gibier était trouvé, puis il sortit de sa gibecière deux cordelettes et lui lia les poignets et les pieds et, comme un fétu, la souleva pour la poser sur son épaule. Il ramenait sa proie.

Il reprit son cor et sonna trois fois signifiant l’arrêt de la chasse.

Il se dirigea comme tous les chasseurs vers l'ancien bâtiment où devait se dérouler le repas de chasse. Nous fîmes de même.

Une fois tout le monde autour de lui, il posa son gibier dont il délia les pieds et les mains.

Il lui retira son blouson, la Comtesse de la Motte-Veuillé était à poil en bottes ; c’est ainsi qu’il présenta sa capture passant sa main sur tout son corps, entre les cuisses , sur les seins...

Michel le félicita et lui dit : "Maintenant vous pouvez exercer votre droit de cuissage. Vous n’ y voyez pas d’inconvénient, Hélène ? » Ma femme répondit en regardant les chasseurs dans les yeux : «  Je ne me dérobe jamais, j’ai été chassée, j’en ai accepté par avance les conséquences »

Le chasseur la fit mettre à genoux devant lui, elle n’eut pas besoin de s’entendre dire ce qu’elle avait à faire, elle déboutonna sa braguette et sortit la bite qui bandait déjà généreusement. Elle la suça goulûment avec envie. Lorsque le chasseur considéra être suffisamment satisfait par cette fellation, il la releva et la força à se pencher contre la grande table, il lui écarta les jambes avec ses pieds, sans douceur, il laissa son chien renifler le trou du cul et la chatte de la comtesse, succédané de la récompense habituelle du chien de chasse.

Ensuite la collant contre la table, il lui intima l'ordre d'écarter ses fesses. La Comtesse prit une fesse dans chaque main et les écarta découvrant  son anus et son sexe, les deux largement offerts. Il lui cracha sur l’anus et l’encula d’un coup. Allant et venant avec rapidité, ma femme criant d’abord de douleur puis de plaisir lorsqu’il sortit sa bite de son cul pour l’enfourner dans sa chatte, sous des coups de boutoir violents.

Michel me dit : « Ta femme est insatiable , je ne suis pas sûr que notre jeune chasseur la satisfasse suffisamment».  J’étais en effet dubitatif.

Michel se mit alors à chanter « Au rendez-vous de la Marquise, ils étaient 80 chasseurs…. Dans le lit de la Marquise ils étaient 80 chasseurs.. ; »

Puis, s’adressant aux cinq autres chasseurs, il ajouta : « Il ne sera pas dit que vous serez rentrés bredouilles, baisez la Comtesse »

 

Lors du dîner qui suivit, ma femme étant allée se refaire une beauté et s’habiller plus convenablement, un toast lui fut porté. Elle répondit en levant à son tour sa coupe de champagne :

– J’avais des préventions contre la chasse,… je ne peux que reconnaître que j’avais tort. 

 

Le texte de l'amant : Conversation du lendemain

 

– Michel, je peux vous poser une question ?

– Oui, bien sûr à condition que je puisse y répondre.

– Hier soir, je vous ai attendu... pourquoi vous n'êtes pas venu ?

– Parce que vous étiez trop occupée à baiser avec les chasseurs. Je ne voulais surtout pas vous déranger !

– Vous savez très bien que vous ne me dérangez jamais... Sincèrement, j'espérais que vous seriez aussi de la fête !

– Parce que vous appelez ça une fête ! Moi, j'emploierais plutôt le mot "tournante" !

– Comme dans les caves des immeubles ?

– Exactement... Et je vais vous faire une confidence : je ne suis pas passionné par la chasse. D'ailleurs, vous ne me verrez jamais avec un fusil à la main. J'aime trop les animaux, je suis un sentimental.

– Mais c'est bien vous qui avez organisé cette partie de chasse en Sologne !

– Pour faire plaisir à votre mari et à ses amis... Dans cette affaire, je ne suis qu'un prestataire de services : je livre une partie de chasse clefs en main : le domaine, le gibier, le gîte et le couvert... TTC !

– Vous m'avez aussi livrée sans aucun scrupule à cinq mâles en manque de sexe !

– "Sans scrupule " est exagéré car, si je ne me trompe, vous aviez accepté les règles du jeu et vous avez même souhaité relever le défi. Rien ne vous y obligeait !

– Je l'admets... Mais voyez le résultat, dans quel état ils m'ont mise..

– Je vois, en effet !... Si j'étais d'humeur coquine, je dirais "L'œil était dans la tombe et regardait Caïn".

– Très drôle ! Vous n'avez jamais pensé que ça pouvait être vous que j'attendais.

– Non... J'en suis désolé.

– Pas autant que moi... mais vous pouvez encore vous faire pardonner.

– Comment cela ?

– Donnez-moi votre bouche pour apaiser mes souffrances, léchez-moi partout, votre salive sera le plus doux des remèdes... Que vos lèvres soient fraîches, que votre langue soit souple, qu'elle lave ma souillure, qu'elle me guérisse... Je vous en prie, ma chatte et mon cul ont le mal de vous

 

   

 

 

 

 

 

 

 



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Vendredi 16 février 2024 5 16 /02 /Fév /2024 08:00

 

les seins de lola

Anaphore : les seins de Lola

Les seins de Lola sont les oreillers de mon cœur

Les seins de Lola sont la voie lactée dans le ciel de notre lit

Les seins de Lola gonflés comme les melons d'eau de ma soif

Les seins de Lola dressés aux antipodes de ses fesses nues

Les seins de Lola, le juste destin de mes mains égarées

Les seins de Lola sont les hémisphères de sa planète sauvage

Les seins de Lola : le bonheur du jour et la douceur de la nuit

Les seins de Lola, les témoins attentifs de nos sexes fiévreux

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Vendredi 1 décembre 2023 5 01 /12 /Déc /2023 08:00

Exercices d'écriture # 15

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Le texte du mari

 Nous venions de quitter l’autoroute,Hélène était à côté de moi confortablement installée dans la Jaguar, elle lisait le carton d’invitation :

« Michel K… recevra Le Comte et la Comtesse de la Motte-Veuillé le samedi 22 et dimanche 23 septembre au Château du Ruisseau. C’était en Sologne, un peu en dessous d’Orléans.

« L’envers du carton portait les mentions manuscrites suivantes :

À votre arrivée, le Comte sera conduit avec vos bagages dans votre chambre et Hélène, elle suivra mon majordome. Il lui est interdit de porter string ou culotte »

Michel revenait des Etats-Unis où il avait passé une année.

Dans la voiture j’avais demandé à ma femme si elle avait une culotte. Elle me répondit évidemment non.

Une fois arrivés devant l’entrée du Château, un domestique vint prendre nos valises et me pria de le suivre jusqu'à notre chambre, un autre invita Hélène à le suivre. Ma femme prit l’escalier principal et moi un autre escalier situé au bout d’un grand hall après avoir traversé un salon.

Le domestique me laissa avec les valises. Je remarquai un bristol sur le manteau de la cheminée ; je m’en approchai et entendis parler, mieux en m’approchant pour saisir le bristol où il était simplement écrit « Regarde et écoute », je m’aperçus qu’il s’agissait d’une glace sans tain qui surmontait la cheminée dont le conduit devait donc être coudé.

Quant aux voix elle provenaient de la grille d’aération en position ouverte qui correspondait donc à celle de la pièce située de l’autre côté de la glace .

Michel était dans cette pièce avec ma femme.

« Après une année et votre lettre particulièrement agréable à lire, j’ai décidé que nous serions tous les deux pendant quelques minutes. Vous avez obéi à ma directive ? »

Je vis ma femme s’allonger sur le lit situé au fond de la pièce, appuyée sur ses coudes, les genoux relevés, tout comme sa jupe, laissant voir que l’obéissance était au rendez-vous, Michel étant de côté, sans doute intentionnellement, je voyais ce qu’il voyait : la chatte d’Hélène, les petites lèvres un peu pendantes.

La position semblait appeler une réponse rapide.

Mais Michel ne bougea pas et lui intima l’ordre de le rejoindre. Il la prit par les hanches, respira son parfum, « N°5, je m’en doutais » il l’amena face à une commode. Naturellement elle posa les deux mains sur le marbre, bras tendus. Michel releva sa jupe, une jupe droite qu’il fit coulisser vers le haut.

Derrière ma vitre sans tain, je le regardais faire.

Il sortit sa bite de sa braguette Il bandait vraiment comme un cerf, Sologne oblige, Je l’entendis lui dire « Je vais vous prendre comme une pute, chère Comtesse. »

Elle ne demandait que cela et se cambra.

Des doigts de sa main gauche, il écarta savamment les petites lèvres, elle était déjà totalement mouillée, il n’eut aucune peine à y fourrer sa bite, il allait et venait en elle, modifiant à son gré le rythme, de rapide à lent, puis très lent. Elle hurlait de plaisir. Il continuait son mouvement.

Il se retira brusquement, plaça son gland luisant sur son anus qu’il força d’un coup.

« J’avais tellement envie de vous enculer Comtesse » Elle hurlait mais cette fois de douleur, sans cependant chercher à échapper à son amant. Il se vida en elle.

Il la fit s’agenouiller et lui présenta la bite qui venait d’investir son trou du cul. Elle savait qu’elle devait la lécher, sucer, ce qu’elle fit en Comtesse soumise.

Lorsqu’elle eut fini ce « nettoyage », il la releva et lui dit « Allons prendre un verre au salon, je suis sûr que votre mari saura nous y rejoindre. »

Le message était évidemment passé et je les rejoignis au salon où un whisky nous fut servi.

Je dis innocemment à ma femme que tout à coup je pensais à un film, « Le vieux fusil », Michel me dit : « Ah oui, le coup de la glace sans tain ! »

Hélène sourit : «Ce doit être excitant de voir des gens qui ne se savent pas être observés »

Le week-end n’était pas fini et Michel nous dit « Nous sommes en Sologne donc pour demain j'ai  pu organiser une chasse, mais un peu originale à laquelle quelques amis nous rejoindrons demain, .. Au fait, Comtesse, vous ferez office de gibier…..

 

 

 Le texte de l'amant

Conversation

– Je vous plais comme ça ?

– Rien ne pourrait me faire plus plaisir !

– Vous savez, c'est mon mari qui insiste pour que je ne porte pas de petite culotte. Il dit que la simple idée que je marche dans les rues cul nul sous ma jupe suffit à le faire bander.

– Je le comprends... Je crois que ça me ferait le même effet. Et vous, ça vous déplaît ?

– Pas vraiment, sauf quand il fait trop froid. Je trouve que c'est plutôt flatteur, pour mon cul j'entends. Dites-moi, Michel, franchement, que pensez-vous de ma vulve ?

– Je la trouve superbe ! Avec ses lèvres entrouvertes comme ça, on s'attendrait à ce qu'elle se mette à parler... Je me demande bien ce qu'elle pourrait raconter !

– Des histoires de cul ! Elle vous dirait qu'elle mouille, que le capuchon de son clitoris est tout dur, qu'elle aimerait que votre langue la lèche partout, du mont de Vénus jusqu'au périnée, que vous lui enfonciez votre bite jusqu'aux couilles pour y répandre votre foutre tout au fond... Voilà ce qu'elle vous dirait.

– J'adore quand vous employez un vocabulaire en décalage total avec votre image.

– C'est encore une idée de mon mari. Il aime bien que je fasse "mauvais genre", comme il dit. Alors, vous comprendrez mieux le pourquoi des bas noirs, des talons aiguilles et de la jupe à ras le bonbon.... Ça fait partie de ma panoplie.

– En fait, c'est une sorte de déguisement ?

– Oui... mais pas que...


Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 7 novembre 2023 2 07 /11 /Nov /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 5

Au retour d'Angélique et Adriano, chargés de moules et de patates à frites, les eaux de la piscine avaient retrouvé leur limpidité. En les attendant, avec les enfants, nous avions commencé à préparer les amuse-gueule pour l'apéro. Il s'était installé entre nous un silence fait de connivence et de gêne, surtout pour Nicolas qui semblait éviter Anne comme la peste, mais ne pouvait s'empêcher de la reluquer en douce comme pour s'assurer de la réalité de ce qu'il lui était arrivé.

Le dîner se déroula exactement comme nous l'avions pressenti : simple et convivial. Moules-frites, bière, vin blanc bien frais, sorbets, café... J'avais pris place aux côtés d'Angélique, face à Anne et Adriano. Les "jeunes" faisaient un peu bande à part. À vrai dire, notre conversation devait les ennuyer profondément. D'ailleurs, une fois englouties les moules et les frites, ils ne tardèrent pas à nous quitter pour rejoindre des "amis" en boîte, quelque part sur la côte.

C'était le signal qu'on attendait. Avec une efficacité quasi militaire, Adriano et Angélique ont pris la direction des opérations : transfert des belligérants dans le salon, fermeture de tous les volets, tamisage des lumières, musique d'ambiance, mise à disposition des combattants de préservatifs, de lubrifiants et de lingettes dans une corbeille posée sur la table du salon, boissons fraîches... Il ne nous restait plus qu'à nous débarrasser de nos vêtements et nous laisser aller dans les vastes canapés garnis de coussins moelleux... Rien que de penser que j'allais enfin toucher et goûter la chatte d'Angélique, je bandais déjà. Tout comme j'étais persuadé qu'Anne était déjà toute excitée à l'idée de saisir et prendre en bouche la grosse bite d'Adriano. C'était un nouveau festin qui nous était servi sur canapé : menu copieux fait de saveurs, d'odeurs et de textures nouvelles... J'avais hâte de poser mes mains sur les gros seins d'Angélique, de les caresser, les pétrir, les peloter avec tendresse, de me saturer les narines de l'odeur de ses cheveux, de ses aisselles, de son fessier et surtout de sa grosse moule que j'avais admirée sur la plage. Sa vulve était délicieusement parfumée. 

 C'est étrange, ta chatte a la même saveur que les moules qu'on a mangées ce soir... Qu'est-ce qui les rend si goûtues ?

  C'est ma recette... J'ajoute un peu de cerfeuil haché dans la sauce. Tu aimes ?

– J'adore ! Et la bite de ton mari a le même goût ?

– Je pense... j'y suis tellement habituée que je n'y prête même plus attention. Je suis vraiment contente que ça te plaise.

plage a coté 5-2

J'aurais pu aussi l'entretenir de l'odeur d'agrumes de ses aisselles, de l'arrière-goût épicé de son anus, de l'onctuosité sucrée de sa bouche, Mais je préférais la déguster en silence... J'en avais plein les lèvres et les narines. De temps à autre, je jetais un œil vers Anne et Adriano qui s'affairaient sur le canapé voisin. À chaque fois, ils avaient changé de position : tantôt tête-bêche, tantôt l'un chevauchant l'autre, tantôt chevillés au plus profond, tantôt se branlant mutuellement en se regardant droit dans les yeux... Mais à chaque fois l'air heureux, le visage rayonnant de désir...

La fête s'est prolongée jusque tard dans la nuit. Lorsque nous les avons quittés, le jour n'allait pas tarder à se lever. Nous ne sous sommes pas promis de nous revoir et c'était beaucoup mieux comme ça.

     

Epilogue.

Le lendemain, sur l'autoroute qui nous éloignait définitivement de l'océan, nous sommes restés longtemps sans nous parler. On se contentait de la musique de l'autoradio. Ce n'est qu'à une centaine de kilomètres de l'arrivée qu'Anne s'est décidée à briser le silence :

– Il faut que tu saches qu'hier, tout était programmé...

– Tu veux dire notre fin de soirée avec Angélique et Adriano ?

– Non, pas ça ! Mais ce qui est arrivé avant, avec les jeunes... C'était prévu. C'est Angélique qui m'avait demandé de m'occuper de son fils.

– Il était au courant ?

– Nicolas ? Bien sûr que non ! En fait, depuis deux jours, ils savaient que leurs enfants seraient présents. Alors, le coup de l'aller-retour à Royan c'était bidon. Mais j'avais mis mes conditions... J'acceptais de déniaiser Antoine et, en échange, je voulais être baisée par Samuel, le petit copain de leur fille... Quant à Maurine, elle voulait bien fermer les yeux... Elle espérait juste que tu t'intéresserais un peu plus à elle... Tu aurais dû la baiser, elle n'attendait que ça !... S'il te plaît, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j'ai très envie de faire pipi.

plage a cote 5

 

@ Michel Koppera, octobre 2023

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 3 novembre 2023 5 03 /11 /Nov /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 4

On était attendus vers 18 heures. Le ciel était d'un bleu vaporeux et la chaleur encore intense. En prévision d'une soirée plus que conviviale, Anne ne s'était vêtue que d'une très courte robe de cotonnade sans absolument rien dessous ! Tout comme moi, habillé d'un bermuda effrangé et d'un T-shirt d'un blanc immaculé. On avait apporté une bouteille d'entre-deux mers bien fraîche pour accompagner les moules et du cognac pour la suite. Mais rien ne se passa comme prévu.

Nous l'avons compris lorsque nous avons vu deux voitures immatriculées en Belgique stationnées dans la cour de la maison. Il y avait des visiteurs ! Il s'agissait des enfants d'Angélique et Adriano. C'est leur fille Maurine qui nous a ouvert la porte. Elle se présenta mais c'était inutile : c'était le portrait de sa mère avec quelques années de moins : mêmes cheveux blonds, mêmes yeux clairs, même poitrine opulente... Dans la grande salle dont la baie ouverte donnait sur l'océan, nous avons retrouvé Angélique et Adriano qui nous ont présenté leur fils Nicolas ainsi que le compagnon de leur fille, un grand black sculptural prénommé Samuel.

Cette visite impromptue bouleversait les projets des parents à commencer par l'organisation du dîner. Avec trois bouches supplémentaires à nourrir, ils allaient manquer de moules et de patates pour les frites. Il leur fallait filer au plus vite jusqu'à Royan avant la fermeture des magasins. Ils étaient désolés mais le déplacement allait leur prendre au moins une heure et demie. Aussi, en attendant leur retour, ils nous invitaient à profiter avec les "jeunes" de la piscine dont la température était à leur avis idéale.

C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés tous les cinq dans l'eau chlorée de la piscine entourée d'une haute haie de thuyas qui la protégeait des regards. Au moment de se mettre à l'eau, Anne avait hésité : elle était venue sans maillot de bain, allait-elle en demander un à Maurine ? Finalement, elle se débarrassa rapidement de sa robe et plongea toute nue dans l'eau cristalline... Ce fut le signal, nous l'avons imitée... Au début, chacun a gardé ses distances, évitant soigneusement de se toucher, même de se frôler... Puis, avec les rires et les éclaboussures, les corps se sont rapprochés, apprivoisés... Maurine était une bonne nageuse, souple et ondulante comme une sirène... Son frère, aussi blond qu'elle, se débrouillait pas trop mal, tout comme Samuel où l'eau ruisselait sur la peau sombre comme de l'huile. On est restés un bon moment dans l'eau à nager, jouer, se défier, se jauger... C'est Nicolas qui est sorti le premier et s'est assis au bord de la piscine, les pieds à barboter dans l'eau. C'était un beau jeune homme blond, encore adolescent, aux yeux clairs, au teint hâlé par le soleil d'été, avec des muscles à fleur de peau...

plage a cote 4

Et soudain, il s'est passé quelque chose d'inattendu, d'improbable... J'ai vu Anne s'approcher en brasse coulée de Nicolas...Elle a sorti son buste de l'eau, juste entre les jambes de l'ado, a pris appui sur ses cuisses, les a écartées et a  tendu sa bouche vers son ventre sans défense... D'autorité, elle l'a englouti jusqu'aux couilles... Et il s'est plus que laissé faire, il a posé une main sur sa tête pour qu'elle ne s'arrête pas... Curieux et médusé, déjà bandant, je suis moi aussi sorti de l'eau, me suis assis comme Nicolas au bord de la piscine pour ne rien perdre de la scène... Anne le suçait avec passion ; les yeux clos, le buste en arrière, il bandait ferme... De temps à autre, peut-être pour reprendre son souffle, elle le sortait de sa bouche, le prenait en main pour le branler, observait son gland cramoisi, y passait une langue gourmande avant de le gober à nouveau... À ce petit jeu, il n'allait pas tenir longtemps. C'était sans compter sur Samuel qui, sans bruit, entre deux eaux, s'était approché du couple... Il s'est positionné derrière Anne, si près qu'elle ne pouvait plus ignorer sa présence... Loin de le repousser, je l'ai vue se cambrer et lui offrir ses fesses... Il y eut des remous dans l'eau : de toute évidence, il était en train de lui caresser le cul et de lui masser la chatte pour l'attendrir. Quand il l'a sentie bien mûre, il s'est collé à elle. Bien que je ne voie rien, j'ai compris qu'il la pénétrait, jusqu'au fond. Concentrée sur la sensation de sa grosse bite noire qui prenait place dans son vagin, Anne avait cessé de sucer Nicolas mais le gardait néanmoins en bouche... Puis, Samuel a commencé à aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus vite... Cela générait à la surface de l'eau une petite houle qui clapotait sur les bords. Anne a repris sa fellation au rythme de la queue de Samuel qui la labourait...

plage a cote 4-2

J'étais tellement fasciné par le spectacle du trio que je n'étais pas rendu compte que Maurine était venue s'asseoir à mes côtés. Depuis combien de temps était-elle là ? Quand avait-elle posé sa main gauche sur ma bite pour me branler ? Quand avait-elle saisi ma main droite pour la fourrer entre ses cuisses, en plein sur sa fente humide ?

– C'est beau, vous ne trouvez pas ? me demanda-t-elle d'une voix toute douce. J'aimerais être à sa place...

– À la place de qui ?

– De votre femme, bien sûr ! Une bite dans le vagin, une autre dans la bouche, c'est le début du bonheur...

Comme elle disait ces mots, je la sentis devenir plus juteuse et chaude... Il faut dire que, au bout de l'excitation, Nicolas venait de jouir dans la bouche d'Anne qui avala son foutre jusqu'à la dernière goutte. Samuel qui la tenait fermement par les hanches accéléra encore la cadence, À chaque coup de boutoir, Anne suffoquait de plaisir... Elle a joui sans lâcher la bite de Nicolas... Samuel s'est mis à grogner et, verrouillant sa queue au fond du vagin d'Anne, il lui a tout balancé... Ils sont restés de longs instants immobiles, hagards... Puis Samuel s'est retiré, libérant de longs filaments de sperme qui se sont mis à se tortiller comme des vers blancs dans l'eau bleue de la piscine. Samuel s'est éloigné, est venu rejoindre Maurine qui l'attendait... Ils se sont enlacés et ont quitté les lieux, bras dessus, bras dessous, sans un mot...

Privilège insolent de la jeunesse, Nicolas bandait de nouveau. Alors, après m'avoir jeté un rapide regard accompagné d'un sourire triste, Anne est elle aussi sortie de l'eau et a rejoint Nicolas toujours assis au bord de la piscine. Elle l'a a pris par la main et l'a entraîné vers un des transats du solarium. Elle l'a fait s'y allonger sur le dos... La queue raide de l'ado faisait comme un petit mât de misaine tendu vers le ciel. Sans préambule inutile, Anne est montée à califourchon sur le transat, a empoigné la bite prête à l'emploi et l'a présentée à l'entrée de son vagin. Elle n'avait plus qu'à s'affaisser doucement pour se la planter dans le ventre.... Elle était la maîtresse de cérémonie, grande prêtresse de la fornication ; il était l'élève docile, l'apprenti soucieux de bien faire. En quelques minutes, elle l'a initié à quelques gestes essentiels, comme le massage de couilles, le suçage des tétons, la masturbation du clitoris, le doigté de l'anus... Il n'en pouvait plus d'apprendre. Le visage grimaçant, comme en apnée, il a joui une seconde fois... Anne a attendu qu'il rabougrisse pour se relever. Une morve de sperme pâle coulait sur sa cuisse... Elle a directement piqué une tête dans la piscine... Sans un regard pour moi, Nicolas s'est empressé de s'éclipser... Le spectacle était terminé

à suivre...          

    

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 31 octobre 2023 2 31 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 3

Nous avons passé une partie de la nuit à en parler et cette conversation nous a troublés au point de nous rendre incapables de faire l'amour. Si bien qu'au petit matin, après quelques heures de sommeil agité de rêves classés X, nous nous sommes réveillés un peu hagards mais surtout surexcités. J'avais une érection diabolique et Anne la vulve huilée.

– Heureusement que je vais passer l'après-midi à poil ! déclara-t-elle en se passant la main entre les cuisses. Je vais pouvoir mouiller sans tacher mon maillot de bain !

Les yeux brillants de lubricité, elle souriait déjà de bonheur. Elle me plaisait quand elle était comme ça, délicieusement vulgaire et "sans filtre" !

Il faisait grand soleil, la journée s'annonçait belle.

Paradoxalement, ce que nous a posé le plus de difficultés, ce fut de trouver le chemin d'accès à la plage qui se nichait au pied d'une pente assez raide plantée de pins qui la dérobaient aux regards. En haut, il y avait un hameau de quelques maisons entourées de hauts murs aveugles. Nous avons erré presque une heure avant de découvrir au détour d'un chemin étroit un départ de sentier signalé par un petit panneau de bois où était peint en lettres majuscules : "Attention, sentier escarpé et non sécurisé ! Déconseillé aux enfants non accompagnés". On a tout de suite saisi l'ambiguïté du message et compris qu'on était sur la bonne voie. Il est vrai que le chemin pouvait être dangereux, surtout en cas de pluie. Ce n'est qu'après un bon quart d'heure de marche que la plage nous est brusquement apparue...

Nous avons trouvé à étaler nos serviettes et planter notre parasol dans un coin de la plage un peu à l'écart, près d'un couple qui nous a regardés nous installer et nous débarrasser de nos vêtements. Une fois nus, ils nous ont adressé un bonjour souriant et bienveillant. Anne n'a pas tardé à faire connaissance. Pour ma part, je suis resté un peu en retrait : hésitant entre la curiosité et la crainte de paraître importun, je ne savais trop quoi faire de mon regard, où le poser sans être indiscret. Bien sûr, il y avait les visages mais surtout les corps à découvert, les poitrines des femmes, les paires de fesses, les ventres plus ou moins velus, les pénis endormis, les fentes vulvaires... Je devinais ma queue rabougrie par le stress cependant que mes yeux, à la manière d'une mouche gourmande de sucre, revenaient inlassablement se poser sur le pubis de notre voisine. Elle se prénommait Angélique, elle était blonde de la tête au mont de Vénus. Sa toison pubienne était si clairsemée qu'elle ne cachait rien de se vulve que je voyais charnue et un peu molle. Ses seins étaient en harmonie avec son sexe, lourds avec de larges aréoles pâles. Alors qu'elle papotait avec Anne, j'ai à plusieurs reprises surpris son regard qui se posait furtivement sur ma bite intimidée.

 Pendant ce temps, Anne avait abandonné toute pudeur : assise en tailleur sur sa serviette de plage, le sexe bâillant, elle parlait avec nos voisins de serviettes et de parasol. Ils étaient belges, de Bruxelles, où ils travaillaient tous les deux à la Commission Européenne, elle comme traductrice des textes français/néerlandais, lui comme chargé des relations entre la Commission et le Parlement Européen. Il se prénommait Adriano et paraissait effectivement plus italien que wallon : chevelure et pilosités brunes et denses, peau mate et bite corpulente... Cela faisait plusieurs années qu'ils venaient passer leurs vacances d'été sur la côte charentaise où ils louaient une grande maison dans le hameau qui surplombait la plage...

Au fil des jours et des conversations, nous avons aussi appris qu'ils avaient deux enfants déjà grands : un fils de 19 ans et une fille de 22 ans déjà en couple... Angélique et Anne se chuchotaient des confidences à l'oreille et échangeaient des sourires complices.  Pour se parler plus librement, elles allaient souvent se baigner seules. J'aimais les observer marchant côte à côte vers l'océan. le spectacle de leurs culs en mouvement avait quelque chose de réconfortant, et quand, une demi-heure plus tard, elles revenaient vers nous, les cheveux mouillés, avec des perles d'eau salée dans les poils de leur chatte, je me disais que j'étais l'homme le plus heureux du monde. J'ai mis quelques temps avant de réaliser que le bas-ventre "au naturel" d'Anne avait séduit Adriano ; elle le savait et s'arrangeait pour qu'il jouisse du meilleur point de vue sur son entrejambe. Il lui en était reconnaissant et, en hommage à sa bonne volonté, il ne cachait pas une belle érection qu'il caressait doucement du bout des doigts. Angélique n'en prenait pas ombrage, bien au contraire : en retour, elle se branlait discrètement le clitoris devant moi, le regard posé sur ma bite, tout en me donnant des explications sur les spécialités culinaires de Bruxelles.

plage a cote 3

Lorsque le dernier vendredi, nous leur avons annoncé que notre séjour prenait fin le lendemain – nous reprenions le travail dès le lundi suivant – ils en ont été sincèrement navrés... Aussi, sans tarder, ils nous ont invités pour un dîner le soir même dans leur maison...

– Ce sera typiquement belge : moules frites ! a annoncé Angélique en riant.

Nous avions bien compris le sous-entendu : ce serait aussi "moules-bites" !

à suivre...

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 27 octobre 2023 5 27 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 2

 Pendant trois jours, les grandes marées estivales ont découvert, à marée basse, de vastes étendues de sable gris où s'aventuraient les promeneurs et les pêcheurs du dimanche. C'est au cours d'une de ces marches à la limite écumeuse des vagues que nous avons vu que la mer se retirait si loin qu'à l'extrémité des promontoires de rochers qui fermaient la plage, s'ouvrait une sorte de banc de sable assez large pour permettre pendant quelques heures le passage de l'autre côté... Nous nous y sommes aventurés. Nous sommes alors arrivés dans une échancrure de la côte assez profonde qui abritait des regards une petite plage accessible  par un sentier que l'on devinait serpentant sous les pins en surplomb. Il y avait là une cinquantaine de personnes... Sur le coup, nous n'avons pas remarqué qu'ils étaient intégralement nus... Tous !

Ma première réaction a été de faire demi-tour, mais c'était sans compter sur Anne qui m'a pris fermement la main :

– Maintenant qu'on est là, hors de question de se dégonfler ! On va se renseigner.

Joignant le geste à la parole, elle a lâché ma main pour se débarrasser de son maillot de bain désormais dérisoire. Du regard, elle m'a encouragé à enlever mon bermuda. J'étais mort de trouille : ça m'a rappelé la première fois où je m'étais trouvé tout nu, au lycée, devant la médecin scolaire, pour la visite médicale. Je n'en menais pas large ! Pourtant, personne ne semblait s'intéresser à nous, que ce soit les baigneurs dans l'eau ou ceux allongés sur le sable.

Au fur et à mesure que nous approchions du fond de la plage, on les distinguait mieux : il y en avait de tous les âges, de toutes les couleurs de peau, avec tout de même une nette majorité de chevelures et pilosités blondes et de peaux claires. Anne paraissait très à l'aise ; il faut reconnaître qu'elle pouvait être fière de ses seins, de sa silhouette élancée et de son ventre plat. J'étais plus embarrassé, presque gêné. Je ne me sentais pas à ma place. Heureusement, la main d'Anne dans la mienne me donnait un peu d'assurance. Nous avons cherché quelqu'un pour répondre à nos questions. Nouvelle surprise : la plupart des naturistes parlaient hollandais ou allemand ! Quelques anglais aussi... Nous avons fini par trouver un vieux couple francophone qui nous a appris que la plage était publique, qu'on y arrivait depuis la côte par le petit sentier sous les pins. En dehors des jours de grande marée, le promontoire rocheux la protégeait des voyeurs et des curieux en tous genres...

plage a cote 2

Petit à petit, je m'habituais à ma nudité... J'ai même repéré sous un parasol rouge et blanc, une belle métisse allongée sur le ventre, les cuisses bien écartées, offrant à tous les regards une vue indiscrète sur son sillon culier et sa vulve pulpeuse...

Nous sommes restés presque une heure à discuter avec le vieux couple qui nous a dit que cela faisait plus de quarante ans qu'ils venaient là tous les étés, qu'à leur connaissance, la plage était réputée pour sa tranquillité, sa convivialité, son côté bon enfant, bien loin des sites sulfureux comme le Cap d'Agde ou l'Ȋle du Levant.

Mais déjà, la mer remontait. Nous avons enfilé nos vêtements et refranchi sans tarder le banc de sable pour retrouver notre plage qui nous a paru triste et sans attrait.

De retour au mobil home, notre décision était prise : dès le lendemain, nous changerions de plage !

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 24 octobre 2023 2 24 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté

J'ai écrit cette nouvelle à la demande de Anne et Jacques pour qui j'ai déjà rédigé plusieurs nouvelles que vous pouvez retrouver sur le blog

Chapitre 1

Cette année-là, nous avions décidé, d'un commun accord, de passer les vacances d'été en Charente-Maritime, au bord de la mer, mais loin des îles et des ports de plaisance au snobisme ostentatoire. Nous souhaitions des vacances "normales". Les années-galère de nos ennuis financiers étaient loin (cf la nouvelle "À découvert) et après nos excès érotiques (cf les nouvelles "Les masques de sommeil" et "Le dernier service") nous aspirions à une existence plus calme. Pour cela, nous avions loué pour deux semaines un petit mobil home dans un camping sans prétention. Cependant, il y avait quand même une piscine avec toboggan et le bruit de l'océan tout proche. C'était une grande et belle plage en forme de croissant, fermée de chaque côté par un promontoire de rochers sombres qui la mettaient à l'abri des vents d'ouest. La fréquentation de la plage correspondait à nos attentes : des familles qui investissaient les lieux avec parasols, rabanes et glacières, quelques couples de retraités, des ados qui jouaient au foot à marée basse sur le sable mouillé et au volley ou au freesbee à marée haute sur le sable sec. Anne avait opté pour un très sage maillot de bain une pièce, moi pour un bermuda bicolore. On passait nos après-midi sur nos serviettes, dans l'ombre du parasol et de nos lunettes de soleil. De temps en temps, on allait se rafraîchir et faire quelques brasses dans les vagues. On ne se parlait guère  : Anne feuilletait des magazines, je consultais mon portable... À dire vrai, nos journées suintaient l'ennui. Le soir venu, on se préparait vite fait une salade de crudités au vinaigre balsamique, on débouchait une bouteille de rosé et on dînait en tête-à-tête sur l'étroite terrasse en bois exotique de notre mobil home surchauffé. Les assauts des moustiques nous contraignaient à trouver refuge dans notre minuscule chambre où la moiteur était si dense que nos caresses et nos étreintes en étaient poisseuses.

plage a cote 1

C'est ainsi que sont passés les premiers jours jusqu'au soir où, alors que nous  étions vautrés sur le lit à regarder notre télé de poche tout en piochant à la cuillère dans un pot de crème glacée, Anne me dit : "Cet après-midi, à la plage, il y a un mec d'une trentaine d'années qui est passé juste devant nous... Tu étais allongé sur le ventre en train de somnoler, alors tu n'as pas dû le voir ! Moi, je l'ai suivi du regard... Un beau mec, bien foutu... Je suis certaine qu'il a une grosse bite...

– Comment peux-tu en être sûre ! Il te l'a montrée ?

– Pas besoin ! Il y a des choses que les femmes sentent d'instinct !

Ces paroles dites sur le ton de la banalité m'ont instantanément fait bander, d'autant plus qu'Anne a ajouté :

– Le suivre des yeux m'a excitée au point que j'en ai mouillé l'empiècement de mon maillot de bain et qu'il a fallu que j'aille me rincer dans l'eau... Dis donc, ça te fait toujours autant d'effet quand je te raconte des trucs un peu cochons... Allez, arrête de te branler, je vais te sucer !

Ses lèvres délicieusement fraîches m'ont enrobé de salive parfumée à la vanille rhum raisins... Puis on a baisé comme des sauvages dans la fournaise de notre mini-chambre.

Dès le lendemain, nous avons pris l'habitude de reluquer en catimini nos congénères de plage. Je me suis mis moi aussi à lorgner les femmes, jeunes ou matures, à portée de regard, à mater leurs fesses, leurs poitrines parfois découvertes, le renflement de leurs bas-ventres... Le soir venu, tout en se caressant mutuellement, on se faisait le compte-rendu de nos observations du jour et on faisait l'amour autant avec les mots qu'avec les corps...

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 20 juin 2023 2 20 /06 /Juin /2023 08:00

Rappel des 2 articles précédents :

Quand j'étais bonobo (texte inédit)

 Quand j'étais bonobo, # 2

2. Ma vie de bonobo (suite) : les rites de la tribu

Le premier dimanche du mois, les élèves du cours de danse de M. Lopez se donnaient rendez-vous dans une guinguette au bord d'un canal. On y déjeunait puis, une fois le trio de musiciens en place sur l'estrade – un accordéon, une batterie et une contrebasse – on dansait. Pour l'occasion, ma Circé portait une jupe noire fendue jusqu'à mi-cuisse, ce qui laissait entrevoir la jarretière de ses bas résille, une paire d'escarpins noirs à hauts talons et un caraco de soie rose indien qui moulait ses seins. Nadine leur préférait une robe plissée si légère qu'elle se soulevait au moindre déhanché et dévoilait sa petite culotte blanche ; Carole aimait les tailleurs plus stricts en harmonie avec ses cheveux coiffés en chignon ; quant à Corinne,  que sa timidité naturelle n'autorisait à aucune extravagance, elle se contentait d'une jupe droite bleu marine et d'un corsage blanc dont les boutons de nacre semblaient prêts à céder à chaque instant sous la pression de sa poitrine comprimée. Nous, les mâles, notre uniforme de cavalier se résumait à un pantalon noir très ajusté – qu'on qualifiait entre nous de style "poutrap'" –,  d'une chemise blanche déboutonnée au col et de mocassins noirs impeccablement cirés.

Les grosses berlines allemandes garées sur le parking de la guinguette annonçaient déjà la clientèle de l'établissement : des couples bourgeois largement quinquagénaires. Dès les premières notes de tango, la piste ovale devant l'estrade  se peuplait de couples enlacés et l'air ambiant se chargeait de phéromones qui ne tardaient pas à saturer. Ma Circé évoluait lascivement au bras d'un bellâtre aux tempes argentées alors que, tel un maître d'équipage, je menais à ma guise une blonde péroxydée qui embaumait le Guerlain et dont je sentais sur ma cuisse qui se glissait entre ses jambes la rondeur moelleuse de son mont de Vénus qui me signifiait son consentement. On ne se parlait pas, on ne se regardait pas dans les yeux... Je ne quittais pas du regard son décolleté profond dont les seins pointaient avec arrogance sous le corsage ; elle fixait ma pomme d'Adam... Les figures s'enchaînaient, et plus le tango durait, plus je bandais. Elle ne pouvait l'ignorer. Les chaudes effluves mêlées de mon liquide préspermatique et de sa cyprine huileuse nous enveloppaient dans une sorte de bulle odorante et intemporelle. Sur la piste tournaient une quinzaine de couples, tous proches de l'extase... Et l'orchestre semblait ne pas vouloir briser le charme, comme s'il attendait une sorte d'orgasme collectif pour nous libérer...

bonobo3-0

Puis, tout s'arrêtait brusquement. On en restait quelques instants hébétés, puis on se saluait, on se remerciait mutuellement. Je regagnais notre table où m'attendait déjà ma Circé, les joues en feu, les yeux brillants de bonheur. Et les autres revenaient aussi, comme un peu ivres. Même Corinne qui avait dansé avec une sorte d'Hercule bedonnant en était transfigurée. On reprenait nos esprits, le temps d'une valse, d'une java et d'une rumba, puis on y retournait emportés par de nouveaux partenaires...

Cela durait jusqu'à la nuit. Comme souvent, Corinne d'abord enthousiaste terminait la journée avec le moral au plus bas : ce n'était pas encore ce jour-là qu'elle rencontrerait l'âme-sœur. Elle semblait si abattue qu'on craignait qu'elle ne fasse des bêtises, alors pas question de la laisser seule. Dans la voiture, elle s'était installée à l'arrière aux côtés de ma Circé qui la consolait en silence. Une heure plus tard, décoiffée et débraillée, elle allait déjà mieux. Elle se laissait entraîner dans notre chambre, mettre nue et allonger en travers du grand lit où ma Circé lui prodiguait ses caresses les plus tendres. Corinne lui offrait sans pudeur son vas-ventre aussi nu et lisse que celui d'une enfant et pourtant aussi profond et charnu que celui d'une courtisane aguerrie. Pendant que ma Circé, à genoux sur le lit, la croupe en l'air, la tête enfouie entre les cuisses ouvertes de Corinne lui léchait la fente et suçait le clitoris, je la tenais par les hanches et la baisais doucement en levrette... lent,vif, vif, lent... 

à suivre...

bonobo3-1

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