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Bourrages, 3ème partie
Très vite, nous nous sommes retrouvés nus dans les fauteuils et nous nous sommes accouplés une première fois, sur place, dans le salon. Patricia avait de très beaux seins, ronds et fermes comme des demi-melons, avec des aréoles sombres. Son cul aussi était charmant : sa raie des fesses était tapissée d’une noire pilosité, douce comme de la soie… Mais l’instant le plus érotique, ce fut lorsqu’elle dénoua sa natte pour libérer la cataracte de sa chevelure qui déferla sur ses épaules et ruissela dans son dos jusqu’au bas des reins, exhalant des flots de senteurs magiques… Je me souviens de l’averse de ses cheveux inondant mon ventre alors qu’elle me suçait, de cette masse souple et fuyante dont je me caressais la bite en rut, de sa nuque secrète où je posais ma bouche, sous la voûte obscure de ses cheveux, de ma main jouant dans cette profusion d’odeurs et de frôlements…
Patricia savait aussi y faire, comme lorsqu’elle me caressa du scrotum jusqu’en haut de la raie culière à l’aide d’une mèche épaisse et soyeuse qu’elle fit glisser en un langoureux va et vient entre mes cuisses écartées. Ce contact me procura un tel plaisir que je me sentis devenir plus dur encore, si c’était possible. Jamais personne ne m’avait caressé ainsi ; j’en avais le trou du cul frémissant, au bord de l’extase. Elle y mit un doigt, puis un deuxième pour accompagner mon bonheur… Alors, j’ai joui une première fois dans ses cheveux, mon sperme poissant comme du gel.
Plus tard dans la nuit, nous avons continué à baiser au lit. Ce fut là, nue sur les draps, que tout en me branlant elle commença le long récit de sa nymphomanie.
« Tu sais, Michel, je ne suis pas toujours comme ça. Je peux rester des mois sans baiser, sans me toucher, sans même paraître en avoir envie. Mais plus je tarde, plus les fantasmes prennent possession de moi. L’abstinence me rend encore plus salope… Alors, un jour, je craque. À chaque fois, ça me tombe dessus de la même façon, je connais le scénario : au départ, il y a une soirée un peu trop arrosée… Oh, oui, continue de me lécher le clito, ne t’arrête surtout pas ! Quand tous les invités se séparent pour aller se coucher, moi, je continue seule, je pars à la chasse au mâle. Je fais les boîtes de nuit de la côte… Je ne cherche que des mecs d’âge mûr, avec des muscles et une grosse bite. Quand je suis bien excitée et que je perds le contrôle, ils peuvent me baiser n’importe où. Le plus souvent, c’est dans la voiture, il y en a même qui viennent avec leur camping-car… Mais je peux aussi faire ça dans les toilettes ou dehors, sur le parking, entre deux voitures. Une fois, j’en ai levé un qui avait une bite énorme, tellement épaisse que je n’ai pas pu me la mettre ni dans la chatte, ni dans la bouche ! Je suis tout juste arrivée à lui téter le gland. Pourtant, j’en avais plus qu’envie ! Enfonce bien les doigts Michel, caresse-moi le col de l’utérus, tout autour, doucement… C’est bon… Le mec, pendant que je le suçais tant bien que mal, il me disait que sa grosse bite le rendait malheureux. Ça ne l’a pas empêché de m’éjaculer sur les lèvres ! Toi, ta bite, elle est comme je les aime : bien droite avec des couilles assez grosses. J’aime bien prendre les couilles des hommes dans ma main. Tu as vu les mecs sur les photos ? C’est des photos que j’ai trouvées sur Internet, des sites de rencontres… Celui que je préfère, c’est le type à quatre pattes sur la table du salon, ça me donne envie de lui mettre les doigts dans le cul tout en lui suçant la bite… Moi, j’aimerais bien me faire enculer mais, à chaque fois que j’essaie, ça me fait un mal de chien ! Alors, je renonce. Le médecin m’a dit que c’était à cause d’hémorroïdes internes et que, dans mon cas, la sodomie c’était pas recommandé… Tiens, regarde le trou de mon cul ! Tu vois quelque chose ? Rien ! – elle avait un petit trou du cul fripé, très resserré, mais sans plus. Mais alors pourquoi ça me fait mal ? J’en ai essayé des crèmes, des pommades, des huiles, des tas de trucs à base de plantes plus ou moins aphrodisiaques, des gels spéciaux pour le fist, rien à faire ! Bon Dieu, qu’est-ce que j’aimerais jouir par le cul, au moins une fois ! Vas-y Michel, baise-moi, laboure-moi la chatte. J’ai envie que tu m’en mettes partout ! »
( à suivre…)
© Michel Koppera, janvier 2010
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