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"Concertino" chapitre 6
Sur le canapé, Martine et Alexandre étaient en sueur, presque intégralement nus : elle n'avait gardé que ses bas sombres, lui sa Rolex. Ils étaient tête-bêche, lui dessous, elle dessus, en train de se prodiguer un prodigieux 69. De son fauteuil d'observation, Dominique avait une vue imprenable sur l'entre-fesses ouvert de Martine qui se faisait copieusement lécher la fente par la langue épaisse d'Alexandre. Sa vulve dégoulinait de salive et de mouillure mêlées. De son côté, elle avait la bouche remplie à ras bord par la bite raide d'Alexandre tandis que de sa main libre elle lui massait les couilles. Elle eut un premier orgasme qui la fit tressauter du bassin. Quand elle eut recouvré son calme, Alexandre la saisit par les hanches et la souleva comme si elle n'était qu'une poupée de chiffon. Dans ses bras, elle n'avait pas plus de volonté qu'une marionnette. Il la souleva donc et la reposa assise sur son ventre, tournée vers son mari.
— Vas-y salope, prends-le et plante-le toi dans la chatte. Et quand tu l'auras calé dans ton ventre, n'oublie pas de te pencher en arrière et de bien écarter les cuisses. Il faut que ton mari voie bien ta moule pleine, qu'il voie absolument tout, c'est le plus important pour lui comme pour toi !
Alexandre avait compris tout l'enjeu de cette soirée. Lorsque la queue raide pénétra enfin dans son vagin, ce fut pour Martine comme une libération, les dernières barrières de la décence tombèrent et elle se laissa définitivement sombrer dans la lubricité. Elle se mit à penser sexe, à respirer sexe, à parler sexe :
— Dis-moi, mon chéri, tu la vois bien la grosse queue d'Alexandre dans ma chatte ? Ça te plaît que je sois sa putain et toi le cocu ? Je mouille, tu entends le petit gargouillis de son nœud dans ma moule toute grasse ? Regarde comme il me pistonne, ça rentre et ça sort ! Tu ne peux pas imaginer comme c'est bon ! Tu bandes aussi mon amour ? Retiens-toi ! Ah ! mon dieu, je sens que ça vient ! Je vais jouir...
Au moment de l'orgasme, Martine ne put s'empêcher de resserrer les cuisses et de replier un peu ses genoux sur son ventre comme si elle cherchait à empêcher le plaisir de s'envoler, à le retenir le plus longtemps possible au creux de son corps... Puis elle reprit lentement son souffle, baissa les genoux et écarta de nouveau les cuisses. Alexandre était toujours planté droit dans son ventre.
— Ça t'a plu ? demanda-t-elle à son mari.
—Tu étais très belle. Tu en as encore envie ?
Elle rougit un peu si bien qu'il devina ses pensées secrètes
— Peut-être... Tu crois que je peux ?
— Tu sais que c'est ce qui me ferait le plus plaisir, mais je veux t'entendre le lui demander.
Alexandre aussi sembla le deviner car, saisissant de nouveau Martine par les hanches, il la souleva. Quand sa queue sortit du vagin de Martine, cela fit comme un bruit de ventouse dans la vase. Martine tourna la tête vers Alexandre et lui dit doucement :
— Je veux que tu m'encules...
— Passe-moi le tube de vaseline ! dit-il à Dominique qui s'empressa de lui tendre le tube qu'il avait caché dans le tiroir de la table basse...
à suivre...
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