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"Concertino", chapitre 7
Avec des gestes professionnels, Alexandre beurra généreusement l'anus de Martine, lui enfonça une noisette de graisse dans le rectum, y fourra deux doigts inquisiteurs. Quand il la sentit suffisamment dilatée et assouplie, il la souleva de nouveau et la tenant à bout de bras, il présenta son cul dans l'axe de sa queue dressée. Martine se saisit du membre d'Alexandre et posa la tête du gland sur son anus. Lentement, très lentement, Alexandre relâcha l'étreinte de ses mains et naturellement le bassin de Martine s'affaissa. Le gland fut bientôt absorbé, puis toute la tige jusqu'à la racine. Alexandre la tira en arrière, l'obligeant à s'allonger sur le dos, le ventre à l'air, les cuisses ouvertes, le vagin béant, avec son énorme mandrin planté dans le cul.
Le spectacle était d'une beauté insoutenable. Dominique crut en défaillir de bonheur. N'y tenant plus, il quitta son fauteuil, s'agenouilla entres les jambes écartées des deux amants et, sans quitter des yeux le tableau vivant de la bite d'Alexandre enfoncée dans l'anus distendu de sa femme, il se branla. Il n'eut besoin d'aucun effort pour éjaculer de puissantes giclées de foutre qui éclaboussèrent le sexe et le mont de Vénus glabre de Martine. Cet arrosage brûlant sembla électriser les deux autres. Ils jouirent à leur tour, Alexandre sans doute le premier car la peau de ses couilles se fripa d'un seul coup et il émit une sorte de grognement rauque comme un animal en colère. Martine aussi enfila un nouvel orgasme qui lui crispa le visage et l'obligea pour la première fois à fermer les yeux où perlèrent des larmes de joie.
Il était grand temps de passer à table. Ils pique-niquèrent devant la chaleur du feu généreusement alimenté de bois sec. Ils n'éprouvèrent pas le besoin de se rhabiller. Comme du sperme encore chaud coulait entre les fesses de Martine, elle l'essuya sans pudeur avec une serviette en papier qu'elle lança en riant dans les flammes. Entre un toast au saumon fumé et une rondelle d'andouille de Quéméné, elle offrait sa bouche à ses deux hommes, caressait et embrassait tendrement leur bite ramollie, leur donnait ses seins à peloter...
Un peu fatigués, Alexandre regagna sa chambre et Martine et Dominique la leur, Elle eut encore le courage de lui faire une délicieuse fellation.
Lundi, dans la fraîcheur printanière du petit jour, Alexandre Meyer reprit le train pour Nancy. Martine et Dominique avaient tenu à l'accompagner jusqu'à la gare. Sur le quai, au moment des adieux, Martine se lança :
— Nous avons été très heureux de vous accueillir. Ce fut un réel plaisir. revenez quand vous voulez, notre porte vous sera toujours ouverte...
Alexandre Meyer esquissa un sourire triste
— J'aurais aimé vous dire oui, mais je ne crois pas que mon épouse serait du même avis.
Lorsque Martine et Dominique rentrèrent en voiture, ils mirent un moment à parler.
Finalement Dominique lui dit : « J’ai beaucoup aimé. C’est finalement agréable de se sentir trompé dans ces conditions."
Martine lui répondit :"Moi aussi mais c’est aussi bien qu’il ne revienne pas, mais cela ne veut pas dire qu’avec un autre….je ne te referai pas ce plaisir."
© Michel Koppera, mars 2017
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