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Douglas Kennedy " La femme du Ve "
Collection Pocket n° 13573. 409 pages
Extrait : chapitre 12, page 197
La scène se passe à Paris dans un bar. Un soir, Harry, le narrateur est passé y boire un verre .
" Elle s'appelait Yanna. Elle était la femme du patron, Nedim, pour l'heure parti en Turquie où il devait assister aux obsèques d'un oncle"...
Elle s'est levée pour aller fermer la porte et tirer une grille intérieure sur la devanture. Revenue près de moi,, elle m'a adressé un sourire éthylique, m'a fait quitter mon tabouret et, prenant ma main droite, l'a glissée sous sa jupe courte, dans sa petite culotte. Sa fente était déjà mouillée sous mes doigts. Avec un petit gémissement, elle m'a attrapé par la nuque et a enfoncé sa langue jusque dans ma gorge. Bien que très ivre, j'avais vaguement conscience d'être sur le point de commettre une folie, mais mon index est entré en elle. Comme il fallait s'y attendre, sa bouche avait un goût de raki et de tabac. L'hémisphère rationnel de mon cerveau a cédé le terrain à l'autre, celui qui appartient à l'imbécile imbibé et guidé par son pénis en érection. Avant d'avoir pu dire ouf, je me suis retrouvé avec elle dans une arrière-salle nauséaobonde. Il y avait un lit de camp près d'un évier constellé de taches de rouille. Elle a défait ma ceinture pendant que je descendais sa culotte le long de ses jambes. Elle a envoyé ses chaussures valser et nous nous sommes abattus sur la couverture rêche. Le lit métallique a bruyamment grincé sous nos contorsions. Comme j'hésitais à la pénétrer, elle a chuchoté dans mon oreille :" Y a pas de risque..." Dès que j'ai été en elle, elle est devenue violente : elle m'a tiré par les cheveux, lacéré les fesses de ses ongles, elle a agité sa main libre entre nous pour se frotter brutalement le clitoris. Quand elle a joui, elle a dû réveiller les deux arrondissements voisins par ses cris et ses soupirs. Puis elle a planté ses dents dans ma langue et ne l'a plus lâchée jusqu'à ce que j'explose en elle.
Deux secondes après, elle était debout.
- Il faut que je nettoie la salle, maintenant. "
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