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" JEU DÉCISIF ", chapitre 10 (suite)
MATHIEU
- Comme je suis habillée en putain, vous allez me traiter comme une putain. Je vous appartiens, je vous obéis...
- Vous me prenez au dépourvu. Je ne sais par où commencer...
- Déshabillez-moi puis on passera au bidet pour la toilette rituelle, comme dans les films en noir et blanc avec Arletty ou Martine Carol...
Je lui ai donc ôté sa jupe, son corsage et sa petite culotte mais elle a tenu à conserver ses bas et son porte-jarretelles, ce qui la rendait effectivement diablement plus attirante.
À califourchon sur le bidet, les cuisses ouvertes, Carole s'est shampouiné la touffe et savonné la vulve. À genoux devant son ventre comme devant un tabernacle, j'étais en adoration. Elle m'a tendu la serviette pour que je l'essuie. Ensuite, ce fut à mon tour de me laver la queue debout devant le lavabo. Je bandais ferme. À peine rincé, Carole s'est accroupie et a entrepris de me tailler une pipe. Les mains solidement agrippées au bord du lavabo, les yeux mi-clos, j'ai apprécié la douceur de ses lèvres et la souplesse de sa langue qui caressait mon gland avec une habileté diabolique.
Mais je n'avais qu'une idée en tête : baiser. Alors, on est retournés dans la chambre, sur le lit. Elle en bas noirs et porte-jarretelles, moi intégralement nu. Le léger grincement du sommier ajoutait un petit plus à notre excitation. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, les bras en croix, Carole s'abandonnait. Elle me donnait tout : son sexe évidemment, mais aussi ses seins lourds, sa bouche fardée, son cou, ses épaules, ses pieds s'il m'en prenait envie. À ce moment, j'aurais aimé que le temps s'arrête ou que tout se mette au ralenti afin que je puisse jouir de l'instant au maximum. Je crois que je l'ai caressée partout, embrassée, léchée, pelotée, palpée, sublimée... Un énigmatique sourire aux lèvres, elle se laissait faire, son corps n'opposait aucune résistance. Au bord de l'éjaculation spontanée, je me suis enfin décidé à la baiser. Devançant mon désir, elle a spontanément écarté les cuisses en grand, relevé un peu les genoux et, une fois ma bite plantée dans son con, elle a refermé les bras sur moi, a posé ses mains sur mes fesses et m'a donné le rythme de notre accouplement tandis que nos bouches ventousées échangeaient des flots de salive sirupeuse. Malgré mes efforts pour retarder l'échéance, je n'ai pas tenu très longtemps. Je lui ai tout lâché dans le ventre à grand renfort de grognements animaux.
Sans me laisser le temps de souffler, Carole m'a repoussé et est retournée au bidet pour se rincer profondément le vagin englué de foutre. Je la croyais contrariée mais, de retour sur le lit, elle m'a souri sans même paraître étonnée que je n'aie pas débandé. Me saisissant la bite à pleine main, elle m'a innocemment demandé :
- Ça vous dirait de m'enculer ?
Cette proposition formulée sur le ton de la plus grande banalité m'a littéralement électrisé. Elle a dû en ressentir les vibrations dans mon sexe qu'elle tenait fermement.
- Maintenant ?
- Oui, c'est aujourd'hui ou jamais !
C'est le genre de marché qui ne se refuse pas. Elle m'a lâché la queue pour se mettre en position, à quatre pattes sur le lit défait. Bien cambrée, ses grosses fesses blanches m'évoquèrent une énorme glace à deux boules au parfum exotique. Sa vulve poilue encore tuméfiée du souvenir de notre accouplement était comme une merveilleuse friandise fruitée. La tête posée sur l'oreiller, les seins écrasés sur le drap, elle attendait.
à suivre...
Je découvre !
Une Dame très généreuse !
Et un Monsieur en pleine forme pour tenter ce deuxième round !