Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
"JEU DÉCISIF " , chapitre 7
MATHIEU
Il n'est pas un jour sans que je pense au sexe de Carole. Je me le représente comme un gros abricot dont je pourrais sucer sans fin la chair moelleuse, sans jamais être rassasié. En me quittant, elle m'a dit qu'il était inutile que je cherche à la joindre, que ce serait elle qui reprendrait contact avec moi. Après ma piètre performance, du niveau d'un adolescent impatient et maladroit, je ne me faisais guère d'illusions. J'avais autant d'espoir qu'un candidat qui s'entend dire à la fin d'un entretien d'embauche "On vous téléphonera". Néanmoins, dès le lendemain de ma mésaventure, j'ai consulté un ancien copain de fac devenu médecin qui, devant mon désarroi, m'a prescrit du Tadalafil pour trois mois. Il m'a gentiment expliqué que, pris quotidiennement, ce comprimé me permettrait de faire face à l'éventualité d'une rencontre fortuite, ce qui n'était pas le cas du classique Viagra. Dès le deuxième jour de traitement, je me réveillai chaque matin en proie à une puissante érection qui revenait, que ce soit au travail ou dans le RER, à la simple évocation du con de Carole. Le souvenir de sa chatte me rendait dingue !
Un jeudi matin, je n'oublierai jamais ce jour, j'ai reçu un texto du secrétariat du club de tennis. J'en conserve encore précieusement une copie :" Invitation. Vendredi 16, court n° 5, réservé de 18 à 19h.". Inutile de dire que j'ai passé les deux jours d'attente dans une sorte d'état second, hésitant entre incrédulité et folles espérances. Après tout, rien ne me prouvait que j'allais enfin la revoir, et pourtant ça ne pouvait être qu'elle.
Le vendredi 16, je suis arrivé très en avance. Sur le tableau de réservation, ne figurait que mon nom. Au secrétariat, on m'a juste informé que l'heure était déjà réglée. J'étais sur des charbons ardents.
Elle est arrivée juste à l'heure, habillée avec la même jupette que celle qu'elle portait le jour du tournoi. Elle s'est approchée de moi, toute souriante, et m'a fait la bise.
- Vous êtes en forme ? m'a-t-elle demandé en baissant les yeux sur mon short.
- Je crois... J'espère ne pas vous décevoir.
- Alors, on y va !
J'ai fait un nombre incalculable de doubles fautes, de retours dans le filet, de passings ratés... J'avais la tête ailleurs. À chaque fois que Carole allait ramasser des balles perdues et éparpillées au pied du grillage de fond de court, elle se baissait et prenait tout son temps pour me montrer ses cuisses nues et sa petite culotte blanche tout en haut dans l'ombre de sa jupette plissée. Il n'est pas évident de jouer correctement eu tennis en bandant !
Après un énième coup droit trop long, Carole m'appela au filet. On se faisait face : elle les jambes nues sous sa jupette plissée et sa grosse poitrine mature moulée dans son tee-shirt mauve, moi vêtu de mon vaniteux polo Lacoste et tout encombré par mon érection presque douloureuse qui déformait mon short.
- On arrête ! me dit-elle en me regardant droit dans les yeux. Je suis venue avec une amie qui m'a juste déposée. Vous me raccompagnez ? Je pourrais prendre une douche chez vous...
Il en fut ainsi. Les dés étaient jetés.
à suivre...
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires